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Test : The Legend of Zelda : Phantom Hourglass (DS)

7

Oui oui je sais, à§a fait un moment que vous avez terminé le jeu mais quand même, il faut bien que je donne un peu mon avis sur Phantom Hourglass quand même, non ? Bref, dans la droite lignée de Wind Waker sur GameCube, ce Zelda Phantom Hourglass débarque sur la console qui a le vent en poupe (ha ha) chez Nintendo : la DS. Comment est-ce que Link allait donc pouvoir se mouvoir sur deux écrans dont un tactile ? Voyez la suite pour avoir la réponse !

Oui oui je sais, à§a fait un moment que vous avez terminé le jeu mais quand même, il faut bien que je donne un peu mon avis sur Phantom Hourglass quand même, non ?

Bref, dans la droite lignée de Wind Waker sur GameCube, ce Zelda Phantom Hourglass débarque sur la console qui a le vent en poupe (ha ha) chez Nintendo : la DS. Comment est-ce que Link allait donc pouvoir se mouvoir sur deux écrans dont un tactile ? Voyez la suite pour avoir la réponse !

Je ne vais pas vous parler du scénario, c’est du classique de chez classique (tiens donc…). La première chose qui choque lorsqu’on commence le jeu est sa facilité d’accès : le tout se joue au stylet et c’est niquel de chez niquel, y’a absolument rien à  redire là -dessus.

Bon ok si, une chose : des fois Link se met à  faire des roulades (petits ronds à  faire avec le stylet sur le cà´té de l’écran tactile) tout seul mais bon, ce n’est pas si grave car on ne s’en sert que très peu.

Le stylet ne gêne aucunement la vision et tous les objets utilisent parfaitement l’écran tactile. Bref, la jouabilité est aux petits oignons.

De l’autre cà´té, celui du deuxième écran, c’est aussi très bien pensé puisque vous pouvez à  tout moment échanger l’affichage de l’écran supérieur (cartes et inventaire) avec l’écran inférieur (jeu) et à  vous l’écriture sur les cartes. Si l’on pense en premier lieu qu’il s’agit d’une fonction gadget, on se rend très rapidement compte qu’elle vous sera indispensable pour résoudre un grand nombre d’énigmes. Très bien vu encore une fois.

SPOILER

Mention spéciale à  une énigme o๠il faut fermer sa DS pour résoudre l’énigme afin que les deux écrans se touchent. Bref, un grand moment de game design pour ma part

FIN DU SPOILER

Une nouveauté concernant le game design maintenant : vous ferez face à  un donjon central dans lequel vous ne pourrez avancer qu’au fur et à  mesure de l’histoire en ayant récupéré les objets dans les autres donjons. C’est plutà´t pas mal car à§a donne une bonne ligne directrice même si au début il est assez énervant de devoir à  chaque fois se retaper tout le donjon pour avancer plus loin. Rassurez-vous, des raccourcis interviendront par la suite.

Les donjons, parlons-en. Eléments essentiels des Zelda, les donjons se trouvent sur différentes à®les et les voyages en mer ne seront pas forcément de tout repos… (trésor à  ramasser, attaques de pirates, monstres). Aussi, là  o๠Wind Waker énervait un peu sur la maniabilité, Phantom Hourglass ne pose aucun soucis de ce cà´té là .

La durée de vie oscille grosso modo entre 15 et 20h de jeu, voir beaucoup plus si vous voulez tout récupérer, comme d’habitude me direz-vous. Le jeu est clairement axé joueur occasionnel au vu de la difficulté très relative tout au long du soft… Seules quelques petites énigmes vous bloqueront plus de 5 minutes. Le jeu reste malgré tout globalement très agréable à  jouer et les sessions de jeux peuvent osciller entre 10 minutes et 2h d’affilées selon son humeur et son degré de dépendances/dégoût aux énigmes.

Pour terminer, le mode multijoueurs testé avec NeoAngel : à§a ne casse pas du tout une patte à  un canard, mais alors même pas un ongle d’orteil pour peu qu’ils aient des ongles et des orteils. Il ne vous “amuse” à  peine 5 minutes, le temps de comprendre le principe. Bref, pas un argument de vente.

Au final, ce Zelda : Phantom Hourglass est une valeur sûre pour tous les gamers (et les autres). Qu’ils soient totalement débutants avec les jeux vidéo ou chevronnés de longue date, chacun y trouvera son petit plaisir et c’est un jeu à  absolument avoir dans sa ludothèque !

Note : 9/10

Oui oui je sais, à§a fait un moment que vous avez terminé le jeu mais quand même, il faut bien que je donne un peu mon avis sur Phantom Hourglass quand même, non ?

Bref, dans la droite lignée de Wind Waker sur GameCube, ce Zelda Phantom Hourglass débarque sur la console qui a le vent en poupe (ha ha) chez Nintendo : la DS. Comment est-ce que Link allait donc pouvoir se mouvoir sur deux écrans dont un tactile ? Voyez la suite pour avoir la réponse !

Je ne vais pas vous parler du scénario, c’est du classique de chez classique (tiens donc…). La première chose qui choque lorsqu’on commence le jeu est sa facilité d’accès : le tout se joue au stylet et c’est niquel de chez niquel, y’a absolument rien à  redire là -dessus.

Bon ok si, une chose : des fois Link se met à  faire des roulades (petits ronds à  faire avec le stylet sur le cà´té de l’écran tactile) tout seul mais bon, ce n’est pas si grave car on ne s’en sert que très peu.

Le stylet ne gêne aucunement la vision et tous les objets utilisent parfaitement l’écran tactile. Bref, la jouabilité est aux petits oignons.

De l’autre cà´té, celui du deuxième écran, c’est aussi très bien pensé puisque vous pouvez à  tout moment échanger l’affichage de l’écran supérieur (cartes et inventaire) avec l’écran inférieur (jeu) et à  vous l’écriture sur les cartes. Si l’on pense en premier lieu qu’il s’agit d’une fonction gadget, on se rend très rapidement compte qu’elle vous sera indispensable pour résoudre un grand nombre d’énigmes. Très bien vu encore une fois.

SPOILER

Mention spéciale à  une énigme o๠il faut fermer sa DS pour résoudre l’énigme afin que les deux écrans se touchent. Bref, un grand moment de game design pour ma part

FIN DU SPOILER

Une nouveauté concernant le game design maintenant : vous ferez face à  un donjon central dans lequel vous ne pourrez avancer qu’au fur et à  mesure de l’histoire en ayant récupéré les objets dans les autres donjons. C’est plutà´t pas mal car à§a donne une bonne ligne directrice même si au début il est assez énervant de devoir à  chaque fois se retaper tout le donjon pour avancer plus loin. Rassurez-vous, des raccourcis interviendront par la suite.

Les donjons, parlons-en. Eléments essentiels des Zelda, les donjons se trouvent sur différentes à®les et les voyages en mer ne seront pas forcément de tout repos… (trésor à  ramasser, attaques de pirates, monstres). Aussi, là  o๠Wind Waker énervait un peu sur la maniabilité, Phantom Hourglass ne pose aucun soucis de ce cà´té là .

La durée de vie oscille grosso modo entre 15 et 20h de jeu, voir beaucoup plus si vous voulez tout récupérer, comme d’habitude me direz-vous. Le jeu est clairement axé joueur occasionnel au vu de la difficulté très relative tout au long du soft… Seules quelques petites énigmes vous bloqueront plus de 5 minutes. Le jeu reste malgré tout globalement très agréable à  jouer et les sessions de jeux peuvent osciller entre 10 minutes et 2h d’affilées selon son humeur et son degré de dépendances/dégoût aux énigmes.

Pour terminer, le mode multijoueurs testé avec NeoAngel : à§a ne casse pas du tout une patte à  un canard, mais alors même pas un ongle d’orteil pour peu qu’ils aient des ongles et des orteils. Il ne vous “amuse” à  peine 5 minutes, le temps de comprendre le principe. Bref, pas un argument de vente.

Au final, ce Zelda : Phantom Hourglass est une valeur sûre pour tous les gamers (et les autres). Qu’ils soient totalement débutants avec les jeux vidéo ou chevronnés de longue date, chacun y trouvera son petit plaisir et c’est un jeu à  absolument avoir dans sa ludothèque !

Note : 9/10

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