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Test : Dead Space

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Beaucoup reprochaient à Electronic arts de ne plus prendre de risques. C’est désormais chose faite avec Dead Space, savant mélange entre survival horror et science-fiction, développé…

Beaucoup reprochaient à Electronic arts de ne plus prendre de risques. C’est désormais chose faite avec Dead Space, savant mélange entre survival horror et science-fiction, développé en interne, et véritablement innovant. Le pitch est simple : dans la peau d’Isaac, un ingénieur envoyé en mission de sauvetage sur le vaisseau Ishimura, vous découvrirez peu à peu ce qui s’y cache…

L’USG Ishimura ne transmet plus aucun signal radio depuis son arrivée en orbite autour de la planète Aegis 7, une colonie minière. À peine arrivés sur place, votre navette de secours s’écrase, et vous et votre équipe vous retrouvez coincés. À l’intérieur du vaisseau, vous comprenez rapidement pourquoi personne ne répondait. On rentre très vite dans le vif du sujet : l’horreur. Le scénario, sans être classique, est donc un mélange d’éléments déjà vus à droite et à gauche. Un peu de Resident Evil, un peu de Ghosts of Mars… L’ambiance générale n’est pas sans rappeler le film Event Horizon, de Paul W.S. Anderson. Mais grâce à des effets sonores prenants et à un doublage français de qualité, il est difficile de ne pas se prendre au jeu. Dead Space est immersif. On avance à travers le vaisseau, on est à l’affut, et on a peur. Si l’on s’égare, on peut avoir recours à un traceur laser pour retrouver son chemin, un peu à la manière du “golden trail” de Fable II. Comme dans un Resident evil, il y a de longs moments de solitude, de calme où l’on attend de savoir à quelle sauce on va se faire manger. C’est d’ailleurs l’occasion d’ouvrir l’œil. Pour admirer les décors.

Graphiquement, rien à redire. Les jeux d’ombre et de lumière sont même assez surprenants. Quant aux promenades à l’extérieur du vaisseau, elles offrent des spectacles de toute beauté, qui pourraient vous faire oublier qu’Isaac a besoin de respirer. Petit clin d’œil à une société consumériste, le vaisseau revêt également quelques publicités à l’aspect rétro qui feront sourire de temps en temps avant de tomber nez à nez avec une créature aussi laide qu’avide de chair fraîche… C’est là qu’il faut penser à sa survie. Et notre ingénieur aura tout l’attirail nécessaire. Des raccourcis permettent d’ailleurs de changer facilement d’arme en cours de jeu. Seulement, malgré les différentes armes disponibles, le but du jeu n’est pas de tirer sur tout ce qui bouge. Comme dans tout survival qui se respecte, il faudra faire attention à ses munitions. Le corps à corps sera souvent de mise, et la seule façon de se débarrasser efficacement des ennemis passera par le démembrement.

Autant le dire tout de suite, Dead Space est gore. Mieux vaut prendre son temps, si on ne veut pas sombrer dans l’angoisse. Une angoisse mesurable en une petite vingtaine d’heures quand même… Heureusement, les points de sauvegarde sont assez bien répartis, de façon à vous laisser gérer votre avancée sans trop de contraintes. Quant à la difficulté, vous aurez le choix entre trois modes : Facile, Raisonnable, et Difficile. Un jeu qui devrait donc convenir aux néophytes comme aux acharnés du genre. Dans tous les cas, Dead Space s’affiche comme l’une des très bonne surprise de cette fin d’année.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • Réalisation très soignée
  • Le gore (il faut aimer…)
  • Les effets sonores
  • L’ambiance immersive
  • Les

  • Scénario plus ou moins déjà vu
  • Pas de V.O.
  • Beaucoup reprochaient à Electronic arts de ne plus prendre de risques. C’est désormais chose faite avec Dead Space, savant mélange entre survival horror et science-fiction, développé en interne, et véritablement innovant. Le pitch est simple : dans la peau d’Isaac, un ingénieur envoyé en mission de sauvetage sur le vaisseau Ishimura, vous découvrirez peu à peu ce qui s’y cache…

    L’USG Ishimura ne transmet plus aucun signal radio depuis son arrivée en orbite autour de la planète Aegis 7, une colonie minière. À peine arrivés sur place, votre navette de secours s’écrase, et vous et votre équipe vous retrouvez coincés. À l’intérieur du vaisseau, vous comprenez rapidement pourquoi personne ne répondait. On rentre très vite dans le vif du sujet : l’horreur. Le scénario, sans être classique, est donc un mélange d’éléments déjà vus à droite et à gauche. Un peu de Resident Evil, un peu de Ghosts of Mars… L’ambiance générale n’est pas sans rappeler le film Event Horizon, de Paul W.S. Anderson. Mais grâce à des effets sonores prenants et à un doublage français de qualité, il est difficile de ne pas se prendre au jeu. Dead Space est immersif. On avance à travers le vaisseau, on est à l’affut, et on a peur. Si l’on s’égare, on peut avoir recours à un traceur laser pour retrouver son chemin, un peu à la manière du “golden trail” de Fable II. Comme dans un Resident evil, il y a de longs moments de solitude, de calme où l’on attend de savoir à quelle sauce on va se faire manger. C’est d’ailleurs l’occasion d’ouvrir l’œil. Pour admirer les décors.

    Graphiquement, rien à redire. Les jeux d’ombre et de lumière sont même assez surprenants. Quant aux promenades à l’extérieur du vaisseau, elles offrent des spectacles de toute beauté, qui pourraient vous faire oublier qu’Isaac a besoin de respirer. Petit clin d’œil à une société consumériste, le vaisseau revêt également quelques publicités à l’aspect rétro qui feront sourire de temps en temps avant de tomber nez à nez avec une créature aussi laide qu’avide de chair fraîche… C’est là qu’il faut penser à sa survie. Et notre ingénieur aura tout l’attirail nécessaire. Des raccourcis permettent d’ailleurs de changer facilement d’arme en cours de jeu. Seulement, malgré les différentes armes disponibles, le but du jeu n’est pas de tirer sur tout ce qui bouge. Comme dans tout survival qui se respecte, il faudra faire attention à ses munitions. Le corps à corps sera souvent de mise, et la seule façon de se débarrasser efficacement des ennemis passera par le démembrement.

    Autant le dire tout de suite, Dead Space est gore. Mieux vaut prendre son temps, si on ne veut pas sombrer dans l’angoisse. Une angoisse mesurable en une petite vingtaine d’heures quand même… Heureusement, les points de sauvegarde sont assez bien répartis, de façon à vous laisser gérer votre avancée sans trop de contraintes. Quant à la difficulté, vous aurez le choix entre trois modes : Facile, Raisonnable, et Difficile. Un jeu qui devrait donc convenir aux néophytes comme aux acharnés du genre. Dans tous les cas, Dead Space s’affiche comme l’une des très bonne surprise de cette fin d’année.

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • Réalisation très soignée
  • Le gore (il faut aimer…)
  • Les effets sonores
  • L’ambiance immersive
  • Les

  • Scénario plus ou moins déjà vu
  • Pas de V.O.
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