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Test flash : Homefront

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Vous allez vous apercevoir assez vite dans la suite que je n’ai pas cédé aux sirènes du marketing THQ sur ce coup-là. Ce que THQ n’a…

Vous allez vous apercevoir assez vite dans la suite que je n’ai pas cédé aux sirènes du marketing THQ sur ce coup-là. Ce que THQ n’a pas hésité a annoncer comme le « Modern Warfare killer » est-il à la hauteur de son grand frère ? Hum…



Après m’être battu au côté de mes compatriotes Américains pour libérer la mère patrie pendant une quinzaine d’heures, je suis en mesure de vous dire ce que je ressors de ce titre… En premier lieu, ce qui frappe, ce n’est pas le nord-coréen en colère dépeint dans le soft, mais plutôt la réalisation datée qui donne une impression de portage HD venu de la PS2 buguée. Je me demanderai certainement encore longtemps pourquoi les studios de développement sponsorisés par de si grosses maisons d’édition ne s’offrent pas une licence pour un moteur 3D cohérent au lieu de se perdre en essayant de concevoir leur propre moteur… Ensuite, vient le scénario, certes pas foncièrement mauvais, mais le fait d’en voir le bout après moins de 4 heures de jeu ferait presque regretter de s’y être investi. A priori, je ne suis pas le seul représentant de la presse vidéo-ludique à trouver le titre très moyen… Pourtant, ce Homefront réussit une belle carrière au niveau de ses chiffres de ventes. Pourquoi ? Certainement parce que le multi, s’il est faillible, reste d’un très bon niveau, avec un nombre de joueurs conséquent (32) et des maps plutôt bien conçues. Mais il se limite à deux modes, et je ne vous parlerai que du second, nommé “Contrôle au sol”. Le but est assez simple : il faut, avec le reste de votre équipe, capturer des zones de la carte et en conserver le contrôle pendant un certain temps. A l’image du football Américain, la ligne de front se déplacera en fonction de vos échecs/succès. A vous de garder le contrôle intelligemment, et en équipe. Un système de niveau (à la COD) est bien présent également, ainsi qu’un système de reward si vous survivez un peu plus longtemps que vos camarades. Je pense que cela transparaît bien dans les quelques lignes qui précèdent, mais oui, je suis déçu… Parce que j’aime les FPS scénarisés, et qu’ici la réalisation (et la durée de vie) m’ont clairement laissés sur ma faim (mais on aura droit à une suite de toute façon). Et si le multi permet au titre de gagner quelques kudos, il n’en gagne pas suffisamment pour le sauver à mes yeux. Donc clairement, je ne pourrais que vous conseiller de résister à l’achat compulsif, et de vous tourner plutôt vers un Crysis 2, qui de son côté tient bien mieux la route…

PS : Tiens, parce que vous avez déjà bien assez vu d’images pour ce titre, je vous mets des photos de la soirée de lancement pour illustrer.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Le multi à 32
Le système de levelling

Les –
La réalisation datée
La durée de vie

Jeu testé sur Xbox 360

Vous allez vous apercevoir assez vite dans la suite que je n’ai pas cédé aux sirènes du marketing THQ sur ce coup-là. Ce que THQ n’a pas hésité a annoncer comme le « Modern Warfare killer » est-il à la hauteur de son grand frère ? Hum…



Après m’être battu au côté de mes compatriotes Américains pour libérer la mère patrie pendant une quinzaine d’heures, je suis en mesure de vous dire ce que je ressors de ce titre… En premier lieu, ce qui frappe, ce n’est pas le nord-coréen en colère dépeint dans le soft, mais plutôt la réalisation datée qui donne une impression de portage HD venu de la PS2 buguée. Je me demanderai certainement encore longtemps pourquoi les studios de développement sponsorisés par de si grosses maisons d’édition ne s’offrent pas une licence pour un moteur 3D cohérent au lieu de se perdre en essayant de concevoir leur propre moteur… Ensuite, vient le scénario, certes pas foncièrement mauvais, mais le fait d’en voir le bout après moins de 4 heures de jeu ferait presque regretter de s’y être investi. A priori, je ne suis pas le seul représentant de la presse vidéo-ludique à trouver le titre très moyen… Pourtant, ce Homefront réussit une belle carrière au niveau de ses chiffres de ventes. Pourquoi ? Certainement parce que le multi, s’il est faillible, reste d’un très bon niveau, avec un nombre de joueurs conséquent (32) et des maps plutôt bien conçues. Mais il se limite à deux modes, et je ne vous parlerai que du second, nommé “Contrôle au sol”. Le but est assez simple : il faut, avec le reste de votre équipe, capturer des zones de la carte et en conserver le contrôle pendant un certain temps. A l’image du football Américain, la ligne de front se déplacera en fonction de vos échecs/succès. A vous de garder le contrôle intelligemment, et en équipe. Un système de niveau (à la COD) est bien présent également, ainsi qu’un système de reward si vous survivez un peu plus longtemps que vos camarades. Je pense que cela transparaît bien dans les quelques lignes qui précèdent, mais oui, je suis déçu… Parce que j’aime les FPS scénarisés, et qu’ici la réalisation (et la durée de vie) m’ont clairement laissés sur ma faim (mais on aura droit à une suite de toute façon). Et si le multi permet au titre de gagner quelques kudos, il n’en gagne pas suffisamment pour le sauver à mes yeux. Donc clairement, je ne pourrais que vous conseiller de résister à l’achat compulsif, et de vous tourner plutôt vers un Crysis 2, qui de son côté tient bien mieux la route…

PS : Tiens, parce que vous avez déjà bien assez vu d’images pour ce titre, je vous mets des photos de la soirée de lancement pour illustrer.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Le multi à 32
Le système de levelling

Les –
La réalisation datée
La durée de vie

Jeu testé sur Xbox 360

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