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Test flash : LEGO Pirates des Caraïbes : Le Jeu Vidéo

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Après avoir pioché dans les univers de Star Wars, de Batman, d’Indiana Jones ou encore plus récemment d’Harry Potter, Traveller’s Tales s’intéresse cette fois à la…

Après avoir pioché dans les univers de Star Wars, de Batman, d’Indiana Jones ou encore plus récemment d’Harry Potter, Traveller’s Tales s’intéresse cette fois à la licence Pirates des Caraïbes, dont le potentiel lucratif n’est plus à démontrer. Quitte à user de la même recette, encore et encore…



Inutile d’y aller par 4 chemins : LEGO Pirates des Caraïbes : Le Jeu Vidéo ne révolutionne en rien le concept des jeux de plates-formes estampillés du sceau de la marque Danoise, et dont nous sommes abreuvés très régulièrement depuis quelques années maintenant. Tout au mieux, il arrive à dépeindre d’une manière assez efficace l’univers d’une licence portée par un Johnny Deep s’appropriant d’une manière étonnamment naturelle le rôle du personnage de Jack Sparrow. Au delà de ça malheureusement, le tout sent le déjà joué/déjà vu. Le moteur graphique utilisé ici est exactement le même qui nous avait agréablement surpris il y a 4 ans de ça grâce à LEGO Star Wars sur les Xbox 360 et Playstation 3 (et qui aura évidemment perdu de son éclat depuis), et les mécanismes de jeu, s’ils tirent évidemment quelques onces d’originalité du fait de l’univers de la licence cette fois utilisée, apparaîtront rapidement comme familiers à ceux s’étant déjà essayé à un jeu LEGO. Inutile de préciser que vous serez une fois encore amenés à jongler entre les différents personnages intégrés au jeu, et dotés de leurs propres caractéristiques, pour pouvoir évoluer au sein des (nombreux) niveaux parsemants le jeu, et traitant des 4 opus de la série (y compris le dernier en date, dont la sortie est prévue pour le 18 mai dans les salles obscures). Pour faire court : l’un sera ainsi plus à l’aise au combat, tandis qu’un autre sera indispensable pour résoudre une énigme, etc… Vous l’aurez compris : à l’ouest, rien de nouveau. Et puis, aussi étonnant que cela puisse paraître, le tout devient rapidement répétitif, et le fait que la colonne vertébrale des niveaux soit à chaque fois sensiblement la même n’arrange rien aux affaires de cet épisode. Et sans absolument vouloir lui tirer dessus à boulets rouges, il faut bien avouer qu’il a toutes les caractéristiques où presque pour s’afficher comme LE volet de trop. Où du moins, le volet qui aurait du amener un vent de fraîcheur. Car en l’état, on tourne en rond. C’est qu’il ne faudrait tout de même pas penser à trop tirer sur la corde…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
L’univers fidèle à la licence

Les –
Une recette éculée
Un peu répétitif
Le moteur graphique commence à accuser son âge

Après avoir pioché dans les univers de Star Wars, de Batman, d’Indiana Jones ou encore plus récemment d’Harry Potter, Traveller’s Tales s’intéresse cette fois à la licence Pirates des Caraïbes, dont le potentiel lucratif n’est plus à démontrer. Quitte à user de la même recette, encore et encore…



Inutile d’y aller par 4 chemins : LEGO Pirates des Caraïbes : Le Jeu Vidéo ne révolutionne en rien le concept des jeux de plates-formes estampillés du sceau de la marque Danoise, et dont nous sommes abreuvés très régulièrement depuis quelques années maintenant. Tout au mieux, il arrive à dépeindre d’une manière assez efficace l’univers d’une licence portée par un Johnny Deep s’appropriant d’une manière étonnamment naturelle le rôle du personnage de Jack Sparrow. Au delà de ça malheureusement, le tout sent le déjà joué/déjà vu. Le moteur graphique utilisé ici est exactement le même qui nous avait agréablement surpris il y a 4 ans de ça grâce à LEGO Star Wars sur les Xbox 360 et Playstation 3 (et qui aura évidemment perdu de son éclat depuis), et les mécanismes de jeu, s’ils tirent évidemment quelques onces d’originalité du fait de l’univers de la licence cette fois utilisée, apparaîtront rapidement comme familiers à ceux s’étant déjà essayé à un jeu LEGO. Inutile de préciser que vous serez une fois encore amenés à jongler entre les différents personnages intégrés au jeu, et dotés de leurs propres caractéristiques, pour pouvoir évoluer au sein des (nombreux) niveaux parsemants le jeu, et traitant des 4 opus de la série (y compris le dernier en date, dont la sortie est prévue pour le 18 mai dans les salles obscures). Pour faire court : l’un sera ainsi plus à l’aise au combat, tandis qu’un autre sera indispensable pour résoudre une énigme, etc… Vous l’aurez compris : à l’ouest, rien de nouveau. Et puis, aussi étonnant que cela puisse paraître, le tout devient rapidement répétitif, et le fait que la colonne vertébrale des niveaux soit à chaque fois sensiblement la même n’arrange rien aux affaires de cet épisode. Et sans absolument vouloir lui tirer dessus à boulets rouges, il faut bien avouer qu’il a toutes les caractéristiques où presque pour s’afficher comme LE volet de trop. Où du moins, le volet qui aurait du amener un vent de fraîcheur. Car en l’état, on tourne en rond. C’est qu’il ne faudrait tout de même pas penser à trop tirer sur la corde…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
L’univers fidèle à la licence

Les –
Une recette éculée
Un peu répétitif
Le moteur graphique commence à accuser son âge

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