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Impressions : Forza Motorsport 4

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L’un des futurs piliers de la Xbox 360 était évidemment de la fête à Los Angeles, et en a profité pour se dévoiler à nous d’une…

L’un des futurs piliers de la Xbox 360 était évidemment de la fête à Los Angeles, et en a profité pour se dévoiler à nous d’une manière assez complète pour que nous ayons largement de quoi écrire à son sujet. Après un Gran Turismo 5 efficace mais loin d’avoir comblé toutes les attentes qu’il avait nourri, on pourrait presque dire que la production de Turn10 dispose d’un boulevard pour s’imposer d’ici les fêtes de fin d’année !

Imaginez un peu le topo : au volant d’une Ferrari dernier cri, vous voilà en train de dévaler en trombes une pistes nichées sur les hauteurs, et enchaînant les épingles jusqu’à mettre vos reflexes à rude épreuve. A peu de choses près, voici le tableau (de rêve) avec lequel il nous a été proposé d’interagir lors de l’E3 2011. Et si le fameux “head tracking”, nécessitant Kinect et permettant au joueur de voir la tête du pilote suivre les mouvements de sa caboche en temps réel, n’avait pas encore été implanté, sachez qu’au niveau du gameplay et des mécanismes de jeu, tout ou presque semblait déjà fonctionnel. Toujours aussi agréable à prendre en main (une fois les aides, bien trop intrusives à un certain niveau, partiellement désactivées !), le soft dégage un plaisir de jeu immédiat, nous poussant à arborer une conduite agressive, qu’importe la monture sélectionnée. A ce sujet, la démo présentée embarquait déjà 3 véhicules, chacun offrant une prise en main différente, et véritablement marquée. De l’Américaine typique ayant tendance à partir dès qu’elle se sent trop agressée dans les virages à l’Italienne collant au sol à la perfection, en passant par l’inégalable Subaru, savant mélange des genres disposant d’une base d’adaptes non négligeable, nous avions déjà de quoi nous forger une idée des différents styles de conduite qui nous attendent.

Et puis, pour ne rien gâcher, le soft a eu la bonne idée d’intégrer le désormais classique “flashback”, qui va vous permettre un retour en arrière de quelques secondes à n’importe quel moment de la course, faisant oublier les erreurs de pilotage que vous auriez pu laisser filer, et qui vous auraient in-fine couté le podium. De la même façon, même s’il n’a pas prétention à révolutionner le genre graphiquement parlant, Forza Motorsport 4 affichait déjà une finesse des plus appréciables, distillant ça et là des détails qui pèseront sans doute dans la balance chez les fans purs et durs. Notez également le fait que les modes de jeu en ligne seront cette fois en mesure d’accueillir jusqu’à 16 joueurs sur la même piste ! A croire que les développeurs écoutent les joueurs… Enfin, sans trop nous avancer, ce 4ème opus de la série de Turn10 nous a toutefois semblé être LE compromis arcade/simulation que chaque amateur de beaux chassis serait en mesure de rechercher. A confirmer, mais on demeure plutôt confiants sur le sujet !

L’un des futurs piliers de la Xbox 360 était évidemment de la fête à Los Angeles, et en a profité pour se dévoiler à nous d’une manière assez complète pour que nous ayons largement de quoi écrire à son sujet. Après un Gran Turismo 5 efficace mais loin d’avoir comblé toutes les attentes qu’il avait nourri, on pourrait presque dire que la production de Turn10 dispose d’un boulevard pour s’imposer d’ici les fêtes de fin d’année !

Imaginez un peu le topo : au volant d’une Ferrari dernier cri, vous voilà en train de dévaler en trombes une pistes nichées sur les hauteurs, et enchaînant les épingles jusqu’à mettre vos reflexes à rude épreuve. A peu de choses près, voici le tableau (de rêve) avec lequel il nous a été proposé d’interagir lors de l’E3 2011. Et si le fameux “head tracking”, nécessitant Kinect et permettant au joueur de voir la tête du pilote suivre les mouvements de sa caboche en temps réel, n’avait pas encore été implanté, sachez qu’au niveau du gameplay et des mécanismes de jeu, tout ou presque semblait déjà fonctionnel. Toujours aussi agréable à prendre en main (une fois les aides, bien trop intrusives à un certain niveau, partiellement désactivées !), le soft dégage un plaisir de jeu immédiat, nous poussant à arborer une conduite agressive, qu’importe la monture sélectionnée. A ce sujet, la démo présentée embarquait déjà 3 véhicules, chacun offrant une prise en main différente, et véritablement marquée. De l’Américaine typique ayant tendance à partir dès qu’elle se sent trop agressée dans les virages à l’Italienne collant au sol à la perfection, en passant par l’inégalable Subaru, savant mélange des genres disposant d’une base d’adaptes non négligeable, nous avions déjà de quoi nous forger une idée des différents styles de conduite qui nous attendent.

Et puis, pour ne rien gâcher, le soft a eu la bonne idée d’intégrer le désormais classique “flashback”, qui va vous permettre un retour en arrière de quelques secondes à n’importe quel moment de la course, faisant oublier les erreurs de pilotage que vous auriez pu laisser filer, et qui vous auraient in-fine couté le podium. De la même façon, même s’il n’a pas prétention à révolutionner le genre graphiquement parlant, Forza Motorsport 4 affichait déjà une finesse des plus appréciables, distillant ça et là des détails qui pèseront sans doute dans la balance chez les fans purs et durs. Notez également le fait que les modes de jeu en ligne seront cette fois en mesure d’accueillir jusqu’à 16 joueurs sur la même piste ! A croire que les développeurs écoutent les joueurs… Enfin, sans trop nous avancer, ce 4ème opus de la série de Turn10 nous a toutefois semblé être LE compromis arcade/simulation que chaque amateur de beaux chassis serait en mesure de rechercher. A confirmer, mais on demeure plutôt confiants sur le sujet !

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