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Test flash : Alice : Retour au pays de la folie

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Se réapproprier le chef d’oeuvre de Lewis Caroll n’est pas chose aisée. Tim Burton en aura d’ailleurs récemment fait les frais. Mais là n’est pas le…

Se réapproprier le chef d’oeuvre de Lewis Caroll n’est pas chose aisée. Tim Burton en aura d’ailleurs récemment fait les frais. Mais là n’est pas le propose, puisqu’il est en fait question d’Alice : Retour au pays de la folie, une production à nouveau chaperonnée par American McGee, producteur avéré qui avait déjà sur réutiliser le personnage d’une manière on ne peut plus efficace en 2000…



Certains se souviennent sans doute avec nostalgie d’American Mc Gee’s Alice, un soft alors développé par Rogue Entertainment et qui prit la forme d’une sorte de suite complètement déjantée des livres de Caroll. Acclamé par la critique (et par les joueurs), le jeu aura tout de même mis 10 ans avant d’hériter d’une suite en bonne et due forme. Prenant le sobriquet d’Alice : Retour au pays de la folie, cette suite en question se veut être un jeu mêlant action et plates-formes, tout en usant d’une trame scénaristique basée sur Alice Liddell, soit la petite fille ayant inspiré le “conte” Les Aventures d’Alice au pays des merveilles à Lewis Caroll. Vous suivez ? Comprenez, il n’est pas question ici de revivre une aventure déjà connue. Il nous sera proposé de guider une Alice brune (et non blonde, du fait que l’inspiration globale du titre soit inspirée d’Alice Liddell, la la petite fille brune ayant réellement existé), et quelque peu dérangée, échappée d’une sorte d’asile ou sont placardés de jeunes “fous”, et qui tentera tant bien que mal de trouver son salut au Pays des Merveilles. Bref, inutile de chercher ici un gameplay révolutionnaire ou des mécanismes de jeu encore jamais vus. Le jeu arrive à tirer son épingle du jeu en grande partie grâce à l’imagination débordante d’American Mc Gee et de ses ouailles, qui réussissent ici à dépeindre un univers glauque, cohérent (façon de parler évidemment), et qu’on aurait typiquement pu imaginé sorti de l’imagination d’un Burton s’il n’avait pas été bridé par les liasses de billets que Disney lui aura fourré sous le pif. Car en toute honnêteté, si le jeu dispose d’une bonne durée de vie, et s’il est agréable de se “promener” dans les entrailles de ce pays imaginaire bardé de personnages aux discours toujours très incohérents, il sent bon le déjà-vu. On passe d’un endroit à un autre, alternant phase de combat primaire, et phase de plates-formes basique. Ces mêmes phases étant parfois entrecoupées d’affrontements en bonne et due forme avec quelques boss. Aussi, les développeurs vous proposeront de faire évoluer votre arsenal et vos compétences en partant à la chase aux trésors, vous obligeant à explorer les 4 recoins des aires de jeux auxquelles vous serez confrontées. De quoi rallonger la durée de vie ? Pas sûr. Enfin, il faudrait être de mauvaise foi pour taxer cette production de mauvaise. Seulement, le fait qu’elle ait décidé de s’appuyer en grande partie sur son background, et non sur ses mécanismes de jeu tend à nous empêcher de la couvrir de compliments. De peu donc…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les + :
L’ambiance travaillée
Des dialogues incohérents, mais délicieux

Les – :
Réalisation graphique moyenne
Un gameplay qui sent le déjà joué
Un doublage loupé

Se réapproprier le chef d’oeuvre de Lewis Caroll n’est pas chose aisée. Tim Burton en aura d’ailleurs récemment fait les frais. Mais là n’est pas le propose, puisqu’il est en fait question d’Alice : Retour au pays de la folie, une production à nouveau chaperonnée par American McGee, producteur avéré qui avait déjà sur réutiliser le personnage d’une manière on ne peut plus efficace en 2000…



Certains se souviennent sans doute avec nostalgie d’American Mc Gee’s Alice, un soft alors développé par Rogue Entertainment et qui prit la forme d’une sorte de suite complètement déjantée des livres de Caroll. Acclamé par la critique (et par les joueurs), le jeu aura tout de même mis 10 ans avant d’hériter d’une suite en bonne et due forme. Prenant le sobriquet d’Alice : Retour au pays de la folie, cette suite en question se veut être un jeu mêlant action et plates-formes, tout en usant d’une trame scénaristique basée sur Alice Liddell, soit la petite fille ayant inspiré le “conte” Les Aventures d’Alice au pays des merveilles à Lewis Caroll. Vous suivez ? Comprenez, il n’est pas question ici de revivre une aventure déjà connue. Il nous sera proposé de guider une Alice brune (et non blonde, du fait que l’inspiration globale du titre soit inspirée d’Alice Liddell, la la petite fille brune ayant réellement existé), et quelque peu dérangée, échappée d’une sorte d’asile ou sont placardés de jeunes “fous”, et qui tentera tant bien que mal de trouver son salut au Pays des Merveilles. Bref, inutile de chercher ici un gameplay révolutionnaire ou des mécanismes de jeu encore jamais vus. Le jeu arrive à tirer son épingle du jeu en grande partie grâce à l’imagination débordante d’American Mc Gee et de ses ouailles, qui réussissent ici à dépeindre un univers glauque, cohérent (façon de parler évidemment), et qu’on aurait typiquement pu imaginé sorti de l’imagination d’un Burton s’il n’avait pas été bridé par les liasses de billets que Disney lui aura fourré sous le pif. Car en toute honnêteté, si le jeu dispose d’une bonne durée de vie, et s’il est agréable de se “promener” dans les entrailles de ce pays imaginaire bardé de personnages aux discours toujours très incohérents, il sent bon le déjà-vu. On passe d’un endroit à un autre, alternant phase de combat primaire, et phase de plates-formes basique. Ces mêmes phases étant parfois entrecoupées d’affrontements en bonne et due forme avec quelques boss. Aussi, les développeurs vous proposeront de faire évoluer votre arsenal et vos compétences en partant à la chase aux trésors, vous obligeant à explorer les 4 recoins des aires de jeux auxquelles vous serez confrontées. De quoi rallonger la durée de vie ? Pas sûr. Enfin, il faudrait être de mauvaise foi pour taxer cette production de mauvaise. Seulement, le fait qu’elle ait décidé de s’appuyer en grande partie sur son background, et non sur ses mécanismes de jeu tend à nous empêcher de la couvrir de compliments. De peu donc…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les + :
L’ambiance travaillée
Des dialogues incohérents, mais délicieux

Les – :
Réalisation graphique moyenne
Un gameplay qui sent le déjà joué
Un doublage loupé

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