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Impressions – Borderlands 2 et son mode coopération

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2K Games nous a convié en début de mois à son événement post-E3 afin de découvrir quelques uns de ses jeux à sortir d’ici la fin…

2K Games nous a convié en début de mois à son événement post-E3 afin de découvrir quelques uns de ses jeux à sortir d’ici la fin de l’année. Parmi eux, Borderlands 2 est celui qui attiré le plus notre attention, de part l’attente qui plane autour du titre après un premier épisode surprenant mais aussi grâce à ses nombreuses qualités ludiques.

Pour cette présentation, nous nous sommes rendus dans un joli loft parisien en duo, pour représenter fièrement les couleurs du Journal du Gamer. Chacun de nous était attablé à un grand écran, relié lui même à un PC surboosté par la nouvelle technologie 3D de Nvidia. En bref, tout le confort nécessaire pour entrer dans ce monde de brutes. Ici point de scénario, point de monde ouvert, la part belle était faite aux combats et aux interactions entre joueurs. Un sentiment inconnu donc, alors que le premier épisode nous plongeait dans des plaines désertiques qui s’étendaient au delà de l’horizon. D’ailleurs, tout au long de cet essai il fut étonnant de ne pas trouver de points de repère dans l’univers. Le soleil chaud des sables a laissé place à une gigantesque ville, illuminée par la Lune. Une géométrie plus verticale et plus étoffée, avec des bâtiments grandioses qui sortent du sol, des places publiques à plusieurs étages et des ponts pour relier le tout. Outre le paysage, les ennemis n’avaient que peu de ressemblance avec l’épisode précédent. Alors que l’on avait l’habitude dans le premier opus d’affronter essentiellement des ennemis à peu près vivants, nous avons eu le droit à des hordes de robots, pour des tonnes de ferrailles qui n’attendaient que de recevoir nos balles. Déstabilisant. Encore une fois, tout ceci n’est qu’un prétexte pour dégainer notre armement sans se poser de questions. La mission était de couvrir un robot géant qui avait en charge de couper au laser des statues un peu partout dans la ville, mais il faut avouer que rapidement on s’est surtout amusé à essayer le plus d’armes possibles, utilisant les ennemis comme des expériences. Ou l’inverse.

En effet, malgré notre niveau 25 et le choix pléthorique parmi les armes à notre disposition, la mort nous a frappé de sa faux à maintes reprises. A nos dépends on a appris que s’enfoncer seul dans le tas n’était pas la meilleure des stratégies. Il va falloir collaborer et c’est un soulagement de s’en rendre compte, puisque là était toute la force du premier. Ces combats ont été d’une intensité rare, amenant leur lot de stress mais aussi de rire et de soulagement après avoir mis à terre un monstre de dix mètres de hauteur. Si d’un pur point de vue d’ergonomie les changements n’ont rien de bouleversants, on sent que cinq années se sont écoulées et que Gearbox a avancé. Contrairement à presque 80% des productions actuelles, les ennemis donnent une impression de vie, et ne se posent pas face à nous comme du simple bétail que l’on achève à coup de chevrotines. Certes, la difficulté présente et le fait d’avoir un acolyte humain à ses côtés aident certainement à affirmer ce ressenti, mais le travail général accompli sur l’univers décuple cette sensation. L’IA réagit particulièrement bien, se plaçant toujours dans la bonne direction et regardant là où il le faut pour nous poser le plus de problèmes sans pour autant tricher à la manière de Crysis 2. Une dose entre difficulté et réalisme bien vue. En terme d’animation, la vitesse d’exécution et la fluidité des mouvements de ces tas de ferraille sont saisissantes et permettent d’immerger toujours un peu plus le joueur dans ces batailles épiques.

Borderlands 2 on connaissait avant d’avoir le plaisir de s’essayer au mode coopération. Le jeu a été plusieurs fois montré à la presse, et fait partie, à juste titre, des jeux les plus attendus pour cette fin d’année. Cet essai a démontré un peu plus (comme s’il le fallait) qu’un titre d’une très bonne qualité, sortira le 21 septembre prochain sur PC, Playstation 3 et Xbox 360. Retenez bien cette date donc.

2K Games nous a convié en début de mois à son événement post-E3 afin de découvrir quelques uns de ses jeux à sortir d’ici la fin de l’année. Parmi eux, Borderlands 2 est celui qui attiré le plus notre attention, de part l’attente qui plane autour du titre après un premier épisode surprenant mais aussi grâce à ses nombreuses qualités ludiques.

Pour cette présentation, nous nous sommes rendus dans un joli loft parisien en duo, pour représenter fièrement les couleurs du Journal du Gamer. Chacun de nous était attablé à un grand écran, relié lui même à un PC surboosté par la nouvelle technologie 3D de Nvidia. En bref, tout le confort nécessaire pour entrer dans ce monde de brutes. Ici point de scénario, point de monde ouvert, la part belle était faite aux combats et aux interactions entre joueurs. Un sentiment inconnu donc, alors que le premier épisode nous plongeait dans des plaines désertiques qui s’étendaient au delà de l’horizon. D’ailleurs, tout au long de cet essai il fut étonnant de ne pas trouver de points de repère dans l’univers. Le soleil chaud des sables a laissé place à une gigantesque ville, illuminée par la Lune. Une géométrie plus verticale et plus étoffée, avec des bâtiments grandioses qui sortent du sol, des places publiques à plusieurs étages et des ponts pour relier le tout. Outre le paysage, les ennemis n’avaient que peu de ressemblance avec l’épisode précédent. Alors que l’on avait l’habitude dans le premier opus d’affronter essentiellement des ennemis à peu près vivants, nous avons eu le droit à des hordes de robots, pour des tonnes de ferrailles qui n’attendaient que de recevoir nos balles. Déstabilisant. Encore une fois, tout ceci n’est qu’un prétexte pour dégainer notre armement sans se poser de questions. La mission était de couvrir un robot géant qui avait en charge de couper au laser des statues un peu partout dans la ville, mais il faut avouer que rapidement on s’est surtout amusé à essayer le plus d’armes possibles, utilisant les ennemis comme des expériences. Ou l’inverse.

En effet, malgré notre niveau 25 et le choix pléthorique parmi les armes à notre disposition, la mort nous a frappé de sa faux à maintes reprises. A nos dépends on a appris que s’enfoncer seul dans le tas n’était pas la meilleure des stratégies. Il va falloir collaborer et c’est un soulagement de s’en rendre compte, puisque là était toute la force du premier. Ces combats ont été d’une intensité rare, amenant leur lot de stress mais aussi de rire et de soulagement après avoir mis à terre un monstre de dix mètres de hauteur. Si d’un pur point de vue d’ergonomie les changements n’ont rien de bouleversants, on sent que cinq années se sont écoulées et que Gearbox a avancé. Contrairement à presque 80% des productions actuelles, les ennemis donnent une impression de vie, et ne se posent pas face à nous comme du simple bétail que l’on achève à coup de chevrotines. Certes, la difficulté présente et le fait d’avoir un acolyte humain à ses côtés aident certainement à affirmer ce ressenti, mais le travail général accompli sur l’univers décuple cette sensation. L’IA réagit particulièrement bien, se plaçant toujours dans la bonne direction et regardant là où il le faut pour nous poser le plus de problèmes sans pour autant tricher à la manière de Crysis 2. Une dose entre difficulté et réalisme bien vue. En terme d’animation, la vitesse d’exécution et la fluidité des mouvements de ces tas de ferraille sont saisissantes et permettent d’immerger toujours un peu plus le joueur dans ces batailles épiques.

Borderlands 2 on connaissait avant d’avoir le plaisir de s’essayer au mode coopération. Le jeu a été plusieurs fois montré à la presse, et fait partie, à juste titre, des jeux les plus attendus pour cette fin d’année. Cet essai a démontré un peu plus (comme s’il le fallait) qu’un titre d’une très bonne qualité, sortira le 21 septembre prochain sur PC, Playstation 3 et Xbox 360. Retenez bien cette date donc.

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