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Test – Dishonored : un vent de liberté

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L’effet Papillon Dans Dishonored, chaque tout petit choix entraine des conséquences énormes, c’est l’effet papillon. Tuer, ou laisser vivre, se salir les mains ou provoquer des…

L’effet Papillon

Dans Dishonored, chaque tout petit choix entraine des conséquences énormes, c’est l’effet papillon. Tuer, ou laisser vivre, se salir les mains ou provoquer des événements qui éviteront toute effusion de sang inutile, écouter ou ignorer, se faire remarquer ou bien garder profile bas… C’est la population de Dunwall, mais aussi son ambiance générale que notre comportement affecte. Et bien entendu le nombre de quêtes disponibles, l’attitude des gens à notre égard, ou notre propre sécurité. Les rats dans Dishonored se comportent plutôt comme des piranhas, ils se réunissent en bande pour attaquer des très grosses proies, comme des hommes.
Les choix, toujours les choix. D’une mission à l’autre ces derniers provoquent notre réussite, ou notre échec. Par exemple, lors d’une mission, vous pouvez épargner un brigand que vous savez être un meurtrier et dont les alliés veulent la mort. Plus tard, le malandrin vous fera rentrer discrètement dans un hôtel en échange d’une preuve qui l’assurera de la disparition d’un de ses anciens amis.

Puisque Dishonored fait le (bon) choix de ne pas être un jeu à monde ouvert, ses niveaux gigantesques offrent un terrain de jeu d’une diversité qu’il faut expérimenter pour la croire. Paradoxalement, face à cet océan des possibles, entrer dans un bâtiment n’a jamais été si compliqué. Les joueurs devront abandonner leurs réflexes habituels pour appréhender les problèmes avec un œil neuf, et tourné vers un réalisme bienvenu; Si l’on ne peut pas entrer dans une pièce, c’est qu’il nous manque les clés. Corvo, bien que marqué par l’Outsider, reste un assassin réaliste. Il ne grimpe pas aux murs et ne saute pas sur des distances à faire rougir les champions olympiques. Alors si l’on ne peut se déplacer sur les toits d’un bâtiment, c’est que l’on se positionne mal et qu’il nous fait encore rechercher. Les informations s’acquièrent de manière naturelle : une note qui traîne, un livre dans une bibliothèque, une discussion entre gardes. L’observation est mise à contribution comme rarement.

Sur ce coup là, je n’ai pas été très discret

Dishonored : un vent de Liberté – page 1
Dishonored : un vent de Liberté – page 2
Dishonored : un vent de Liberté – page 3
Dishonored : un vent de Liberté – page 4

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Notre avis

Merveilleux
Note : 9  /  10
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