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[Impressions] Space Hulk – Deathwing : On a découvert le FPS à la sauce Warhammer 40 000

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Directement inspiré du jeu de plateau éponyme, Space Hulk – Deathwing entend bien nous livrer un FPS solide basé sur l’univers 40 000. Premier contact. Avec…

Directement inspiré du jeu de plateau éponyme, Space Hulk – Deathwing entend bien nous livrer un FPS solide basé sur l’univers 40 000. Premier contact.

spacehulk_deathwing-01

Avec son background spatial, ses confrontations entre races et son aspect militaro-industriel, la franchise Warhammer 40 000 semblait être parfaitement adaptée aux FPS. Ce n’est pourtant pas dans ce genre qu’elle s’est réellement développée, optant finalement pour le RTS. Le studio Streum On espère bien changer la donne (et laver l’affront du très mauvais Fire Warrior sorti en 2003) en nous mettant dans la peau de quatre Space Marine confrontés à des dizaines d’ennemis.

Le but est simple. Seul ou en coop (jusqu’à quatre), ces super soldats de l’Imperium explorent les Space Hulk, de gigantesques vaisseaux à la dérive depuis des siècles. Mais ces hangars flottants, qui contiennent parfois des trésors, sont truffés d’aliens extrêmement agressifs nommés Genestealer. Il faudra donc vous frayer un chemin dans ce dédale, tout en restant groupé pour affronter les nuées d’adversaires.

Deathwing_06-900x400

La courte présentation que nous avons pu voir nous a permis de constater que le jeu fait pour l’instant honneur à la franchise. Les codes graphiques sont respectés, et l’Unreal Engine 4 fait particulièrement bien son office, notamment sur les jeux de lumière. Tellement bien que les développeurs semblent s’amuser à nous placer dans une constante obscurité. Une idée qui accentue le côté claustrophobique de l’endroit, qui oscille entre petits couloirs et grandes salles, mais qui peut s’avérer lassante au bout d’un moment.

Si l’ambiance générale peut faire penser au très bon Alien Isolation, l’arsenal disponible (composé d’une douzaine d’armes et de sorts) fait que la comparaison s’arrête là. Vous n’êtes pas là pour vous cacher, et les Genestealers vont vite le comprendre. Ces derniers ont bénéficié d’une IA assez fine, proche de celle de Left 4 Dead. Les ennemis s’organisent selon vos déplacements, et n’apparaissent jamais au même endroit. Ils sont plus rapides et agiles que les Space Marine, dont la force de feu compense les déplacements très lourds. En résulte une tension constante, plutôt grisante. Le scénario, en relation directe avec la franchise, devrait se dévoiler au fil des vaisseaux explorés.

spacehulk_deathwing-02

Reste maintenant à voir si Streum On saura ajouter un peu de diversité, à la fois chez les ennemis, mais aussi dans les maps qu’on espère plus éclairées. On sent malgré tout que les développeurs sont de véritables amateurs de la franchise, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

Space Hulk : Deathwing est prévu pour “la fin d”année” sur PC, PS4 et Xbox One.

Directement inspiré du jeu de plateau éponyme, Space Hulk – Deathwing entend bien nous livrer un FPS solide basé sur l’univers 40 000. Premier contact.

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Avec son background spatial, ses confrontations entre races et son aspect militaro-industriel, la franchise Warhammer 40 000 semblait être parfaitement adaptée aux FPS. Ce n’est pourtant pas dans ce genre qu’elle s’est réellement développée, optant finalement pour le RTS. Le studio Streum On espère bien changer la donne (et laver l’affront du très mauvais Fire Warrior sorti en 2003) en nous mettant dans la peau de quatre Space Marine confrontés à des dizaines d’ennemis.

Le but est simple. Seul ou en coop (jusqu’à quatre), ces super soldats de l’Imperium explorent les Space Hulk, de gigantesques vaisseaux à la dérive depuis des siècles. Mais ces hangars flottants, qui contiennent parfois des trésors, sont truffés d’aliens extrêmement agressifs nommés Genestealer. Il faudra donc vous frayer un chemin dans ce dédale, tout en restant groupé pour affronter les nuées d’adversaires.

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La courte présentation que nous avons pu voir nous a permis de constater que le jeu fait pour l’instant honneur à la franchise. Les codes graphiques sont respectés, et l’Unreal Engine 4 fait particulièrement bien son office, notamment sur les jeux de lumière. Tellement bien que les développeurs semblent s’amuser à nous placer dans une constante obscurité. Une idée qui accentue le côté claustrophobique de l’endroit, qui oscille entre petits couloirs et grandes salles, mais qui peut s’avérer lassante au bout d’un moment.

Si l’ambiance générale peut faire penser au très bon Alien Isolation, l’arsenal disponible (composé d’une douzaine d’armes et de sorts) fait que la comparaison s’arrête là. Vous n’êtes pas là pour vous cacher, et les Genestealers vont vite le comprendre. Ces derniers ont bénéficié d’une IA assez fine, proche de celle de Left 4 Dead. Les ennemis s’organisent selon vos déplacements, et n’apparaissent jamais au même endroit. Ils sont plus rapides et agiles que les Space Marine, dont la force de feu compense les déplacements très lourds. En résulte une tension constante, plutôt grisante. Le scénario, en relation directe avec la franchise, devrait se dévoiler au fil des vaisseaux explorés.

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Reste maintenant à voir si Streum On saura ajouter un peu de diversité, à la fois chez les ennemis, mais aussi dans les maps qu’on espère plus éclairées. On sent malgré tout que les développeurs sont de véritables amateurs de la franchise, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

Space Hulk : Deathwing est prévu pour “la fin d”année” sur PC, PS4 et Xbox One.

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