Passer au contenu

Test: Battlestations Midway (X360)

5

“Oh! Un jeu sur la seconde guerre mondiale! Ma préférée!” Autant le dire tout de suite, les jeux qui ont pour décorum la seconde guerre mondiale, il y’en a des trillions toutes plate-formes confondues. Pourquoi les éditeurs se focalisent-ils sur ce conflit quand il y’a tant d’autres moments o๠l’Homme (majuscule, attention) s’est illustré par son incommensurable Connerie (majuscule aussi)? Les Malouines, le Liban, la guerre Iran-Irak, la guerre du Golfe, la Bosnie, le Kosovo, l’Irak bis, le re-Liban… Ce ne sont pas les occasions qui manquent, hein… Alors pourquoi nous en resservir une louche sur 39-45, bordel!? Nan parce que bon, le brave private John Doe qui ne doit compter que sur son M-1 rouillé et son courage pour affronter l’ensemble de la Wermacht qui a comme par hasard! décidé de faire une soirée camping pile-poil autour de son point d’insertion, ras le kevlar, hein. Tel était donc mon état d’esprit en me voyant confier le test du dernier né des studios Eidos: Battlestations Midway. Et pourtant…

“Oh! Un jeu sur la seconde guerre mondiale! Ma préférée!”

Autant le dire tout de suite, les jeux qui ont pour décorum la seconde guerre mondiale, il y’en a des trillions toutes plate-formes confondues. Pourquoi les éditeurs se focalisent-ils sur ce conflit quand il y’a tant d’autres moments o๠l’Homme (majuscule, attention) s’est illustré par son incommensurable Connerie (majuscule aussi)?

Les Malouines, le Liban, la guerre Iran-Irak, la guerre du Golfe, la Bosnie, le Kosovo, l’Irak bis, le re-Liban… Ce ne sont pas les occasions qui manquent, hein… Alors pourquoi nous en resservir une louche sur 39-45, bordel!?

Nan parce que bon, le brave private John Doe qui ne doit compter que sur son M-1 rouillé et son courage pour affronter l’ensemble de la Wermacht qui a comme par hasard! décidé de faire une soirée camping pile-poil autour de son point d’insertion, ras le kevlar, hein.

Tel était donc mon état d’esprit en me voyant confier le test du dernier né des studios Eidos: Battlestations Midway. Et pourtant…

Comme un air de vacances.

Et pourtant à´ joie: Battlestations Midway, à§a sonne quand même mieux que Kampfschwimmer Amsterdam. Non pas que j’ai quelque chose a reprocher à  cette fabuleuse ville qu’est Amsterdam, mais Midway, tout de suite à§a fait plage, océan pacifique, cocotiers et obus de 75.

Et à§a, pour un gamer qui bouffe des Brothers of Duty in Marketgarden depuis quelque temps, c’est des vacances. Oui je sais, dit comme à§a, à§a fait cynique.

Mais là  n’est pas le propos. Le coeur de ce titre, c’est le Battlestations qui va avant Midway. Car ce terme signifie que l’infanterie n’aura pas de rà´le dans le pugilat qui s’annonce.

En effet, chose plutà´t rare dans les jeux consoles (traduire “grand public”), le jeu est fortement orienté bataille navale. Pas de soldats jouables, pas de tanks, jeeps ou autres, ici c’est du lourd, du très lourd même puisque l’on nous met aux commandes de divers batiments de guerre s’étant illustrés sur le front Pacifique durant la seconde guerre.

La campagne solo vous propose donc d’incarner un brave matelot, le jour de sa mutation dans une petite bourgade du Pacifique Sud.

Pearl Harbour que à§a s’appellait.

Oui voila, Pearl Harbour. Manque de bol, vous vous y trouvez pile-poil quand les vils servants de l’armée Nippone décident de tester leur arsenal.

Le jeu commence donc plutà´t fort avec vous en train de tenter de rejoindre votre croiseur pour répondre à  l’ennemi. Re manque de chance, l’explosion de celui-ci vous contraint a rester dans votre vedette rapide et à  (tenter de) survivre.

Vous l’avez compris, la campagne solo n’a jamais autant mérité le terme de carrière puisqu’elle vous verra progresser au fur et à  mesure des succès alliés jusquâ€™à  commander votre propre groupe de bataille avec tout ce qu’il sous-entend en terme d’unités.

Résumons-nous: un jeu de bataille navale développé par un studio Hongrois, avec les bà¢timents de guerre de l’époque et le tout sans un seul canon à  plasma dans les environs…

Mais c’est pas un jeu pour PC, à§a?

En tout cas, à§a y ressemble. Le jeu est dispo sur PC mais fait quand même la part belle à  l’action. Pour ne pas rester bloqué sur l’eau et pour amortir le moteur de jeu, Eidos a décidé que votre héros partirait en guerre avec son pote de toujours, pilote à  ses heures perdues. Tandis que vous courez vers votre embarcation, lui file vers les avions stationnés là  et s’envole pour une riposte aérienne.

Vos destins sont donc mêlés et le jeu vous proposera d’alterner entre l’un et l’autre personnage au gré des missions à  accomplir.

En plus de la campagne, un mode défi propose de vous propose de jouer des missions spots au commandes de navires, sous-marin ou avion et de renverser une situation pas toujours à  votre avantage.

L’art de faire tenir 128 touches sur un gamepad.

Console oblige, les commandes et la gestion de vos unités sont limitées au strict minimum. Il est cependant possible d’assigner des objectifs voire de carrément prendre le contrà´le de n’importe quelle unité présente dans notre groupe de bataille.

Ceci prévaut également pour les bà¢timents embarquant des unités, à  l’image du porte-avion. Il sera capable de gérer les différentes escadrilles présentes à  bord (torpilleur, bombardier, chasseurs) et aura la possibilité de leurs assigner des objectifs indépendants.

Enfin la micro-gestion est de la partie: sur un destroyer, il est possible de sélectionner les différents systèmes d’armes disponibles (artillerie, lance-torpilles…) et de leur assigner des objectifs différents.

Autant dire que dans le feu de l’action, on a tà´t fait de s’emmêler les pinceaux. C’est pour éviter ce genre d’écueil que la campagne solo prend des airs de tutorial en version longue, rendant les premières missions finalement peu intéressantes. Mais joueurs de tous les pays, accrochez-vous, ce jeu a du potentiel.

En effet, après quelques efforts, certaines missions vous demanderont de coordonner habilement vos vaisseaux afin de mener à  bien vos objectifs sans pour autant vous faire réduire en miettes par l’opposition.

L’élaboration de votre stratégie passera impérativement par la carte tactique mise à  disposition, permettant de gérer tous les bouzins bien plus proprement que sur le champ de bataille. C’est via cette carte que l’on pourra assigner des points de passage et des objectifs à  nos bà¢timents.

A noter que la notion de couverture radar est importante dans la mesure o๠les ennemis hors de portée resteront invisibles. La réciproque n’étant pas forcément vérifiée, elle. C’est à  ce moment que l’aviation embarquée d’un porte-avion prend tout son sens puisqu’assigner des patrouilles de reconnaissance permettra d’étendre la couverture visuelle de votre flotte.

Les dégà¢ts sont également de la partie et lors d’une escarmouche, il faut assigner les équipes sur les différentes avaries (machines, voie, d’eau, feu…) tout en essayant de manoeuvrer pour ne pas continuer à  se faire avoiner copieusement.

Multiplayer Midway

Le mode Live ne propose pas énormément de maps et modes de jeux différents. En même temps, vu le contexte historique, on ne pouvait pas s’attendre à  un Capture The Flag ou un Free For All, mais quand même.

Les missions sont au nombre de 9 et reprennent des missions clés de la bataille du pacifique. Elles proposent à  8 joueurs maxi de choisir leur camp (US ou Japon), leur bà¢timents et de s’étriller joyeusement en remplissant des objectifs.

On se retrouve ici dans la lignée d’un Battlefield 2: le gameplay peut s’avérer ultra-riche si chacun joue son rà´le. Malheureusement, les parties que j’ai essayé ne m’ont que rarement permis cela: la stratégie d’équipe est souvent remisée à  la trappe et les rà´les peu ou pas respectés (un porte-avion qui part en première ligne, à§a peut surprendre).

Et sinon, c’est joli ou bien?

Point de vue technique, la console s’en tire honorablement. Bon, en même temps, il n’est pas trop difficile d’afficher une étendue bleu-vert avec des trucs gris dessus, mais quand même. Le framerate est fluide en toutes occasion, les unités bien modélisés et les décors chatoyants, à  condition d’aimer l’océan quoi.

Ceci dit, les passages en avion permettent de voir que les devs ont fait un boulot plus qu’honorable: la distance d’affichage est grande, le clipping réduit et les effets de lumière et de fumée sont au rendez-vous.

Alors, que penser?

Ce Battlestations Midway est comme beaucoup de jeux consoles pris entre deux feux: le cà´té stratégie est assez poussé mais le gameplay permet à  des gens voulant jouer rapidement de se jeter dans la bataille. En gros, à§a n’est ni un Silent Hunter, ni un Blazing Angels, et c’est ce qui est dommage.

Jouer sur console ne signifiant pas tout le temps “vite, je veux ma dose”, on apprécierait de voir débouler des jeux ouvertement tournés vers la simulation, avec des manuels de 200 pages et des combinaisons de boutons tordues. Ou un clavier.

Messieurs les devs, entendez mon appel.

Le coin du techos

Graphismes: C’est propre, c’est net, c’est coloré, à§a chatouille les yeux mais à§a n’est pas non plus les palmiers les mieux modélisés que j’ai croisé dans ma carrière.

Animations: Pas de saccade, tout est fluide et bouge proprement. En même temps un naivre de guerre ne se déplacant que rarement à  Mach 2, l’inverse eut été dommage.

Jouabilité: les didacticiels sont bien (trop bien?) présents et permettent au joueur de se faire la main rapidement, la carte tactique est un exemple de clarté et d’ergonomie.

Sons: Seconde guerre mondiale oblige, bruit d’armes, de bà¢timents, de bombes, d’équipiers et musique un brin pompier, tout est là .

Durée de vie: pour les chiens de guerre, la campagne US et ses 11 missions risque de ne pas faire long feu, les défis solos, navire, sous-marin et avion permettant de prolonger un peu la durée de vie (respectivement 4, 3 et 3 missions). Le mode Live permet de grandes choses à  condition de parler l’anglais (presque uniquement des joueurs US ou Anglais en ligne) et de trouver les bons coéquipiers.

Note: 7/10. Il manque un je ne sais quoi qui permettrait à  ce jeu d’être un hit, nous attendrons le second épisode pour voir si l’essai est transformé.

”Images via IGN

“Oh! Un jeu sur la seconde guerre mondiale! Ma préférée!”

Autant le dire tout de suite, les jeux qui ont pour décorum la seconde guerre mondiale, il y’en a des trillions toutes plate-formes confondues. Pourquoi les éditeurs se focalisent-ils sur ce conflit quand il y’a tant d’autres moments o๠l’Homme (majuscule, attention) s’est illustré par son incommensurable Connerie (majuscule aussi)?

Les Malouines, le Liban, la guerre Iran-Irak, la guerre du Golfe, la Bosnie, le Kosovo, l’Irak bis, le re-Liban… Ce ne sont pas les occasions qui manquent, hein… Alors pourquoi nous en resservir une louche sur 39-45, bordel!?

Nan parce que bon, le brave private John Doe qui ne doit compter que sur son M-1 rouillé et son courage pour affronter l’ensemble de la Wermacht qui a comme par hasard! décidé de faire une soirée camping pile-poil autour de son point d’insertion, ras le kevlar, hein.

Tel était donc mon état d’esprit en me voyant confier le test du dernier né des studios Eidos: Battlestations Midway. Et pourtant…

Comme un air de vacances.

Et pourtant à´ joie: Battlestations Midway, à§a sonne quand même mieux que Kampfschwimmer Amsterdam. Non pas que j’ai quelque chose a reprocher à  cette fabuleuse ville qu’est Amsterdam, mais Midway, tout de suite à§a fait plage, océan pacifique, cocotiers et obus de 75.

Et à§a, pour un gamer qui bouffe des Brothers of Duty in Marketgarden depuis quelque temps, c’est des vacances. Oui je sais, dit comme à§a, à§a fait cynique.

Mais là  n’est pas le propos. Le coeur de ce titre, c’est le Battlestations qui va avant Midway. Car ce terme signifie que l’infanterie n’aura pas de rà´le dans le pugilat qui s’annonce.

En effet, chose plutà´t rare dans les jeux consoles (traduire “grand public”), le jeu est fortement orienté bataille navale. Pas de soldats jouables, pas de tanks, jeeps ou autres, ici c’est du lourd, du très lourd même puisque l’on nous met aux commandes de divers batiments de guerre s’étant illustrés sur le front Pacifique durant la seconde guerre.

La campagne solo vous propose donc d’incarner un brave matelot, le jour de sa mutation dans une petite bourgade du Pacifique Sud.

Pearl Harbour que à§a s’appellait.

Oui voila, Pearl Harbour. Manque de bol, vous vous y trouvez pile-poil quand les vils servants de l’armée Nippone décident de tester leur arsenal.

Le jeu commence donc plutà´t fort avec vous en train de tenter de rejoindre votre croiseur pour répondre à  l’ennemi. Re manque de chance, l’explosion de celui-ci vous contraint a rester dans votre vedette rapide et à  (tenter de) survivre.

Vous l’avez compris, la campagne solo n’a jamais autant mérité le terme de carrière puisqu’elle vous verra progresser au fur et à  mesure des succès alliés jusquâ€™à  commander votre propre groupe de bataille avec tout ce qu’il sous-entend en terme d’unités.

Résumons-nous: un jeu de bataille navale développé par un studio Hongrois, avec les bà¢timents de guerre de l’époque et le tout sans un seul canon à  plasma dans les environs…

Mais c’est pas un jeu pour PC, à§a?

En tout cas, à§a y ressemble. Le jeu est dispo sur PC mais fait quand même la part belle à  l’action. Pour ne pas rester bloqué sur l’eau et pour amortir le moteur de jeu, Eidos a décidé que votre héros partirait en guerre avec son pote de toujours, pilote à  ses heures perdues. Tandis que vous courez vers votre embarcation, lui file vers les avions stationnés là  et s’envole pour une riposte aérienne.

Vos destins sont donc mêlés et le jeu vous proposera d’alterner entre l’un et l’autre personnage au gré des missions à  accomplir.

En plus de la campagne, un mode défi propose de vous propose de jouer des missions spots au commandes de navires, sous-marin ou avion et de renverser une situation pas toujours à  votre avantage.

L’art de faire tenir 128 touches sur un gamepad.

Console oblige, les commandes et la gestion de vos unités sont limitées au strict minimum. Il est cependant possible d’assigner des objectifs voire de carrément prendre le contrà´le de n’importe quelle unité présente dans notre groupe de bataille.

Ceci prévaut également pour les bà¢timents embarquant des unités, à  l’image du porte-avion. Il sera capable de gérer les différentes escadrilles présentes à  bord (torpilleur, bombardier, chasseurs) et aura la possibilité de leurs assigner des objectifs indépendants.

Enfin la micro-gestion est de la partie: sur un destroyer, il est possible de sélectionner les différents systèmes d’armes disponibles (artillerie, lance-torpilles…) et de leur assigner des objectifs différents.

Autant dire que dans le feu de l’action, on a tà´t fait de s’emmêler les pinceaux. C’est pour éviter ce genre d’écueil que la campagne solo prend des airs de tutorial en version longue, rendant les premières missions finalement peu intéressantes. Mais joueurs de tous les pays, accrochez-vous, ce jeu a du potentiel.

En effet, après quelques efforts, certaines missions vous demanderont de coordonner habilement vos vaisseaux afin de mener à  bien vos objectifs sans pour autant vous faire réduire en miettes par l’opposition.

L’élaboration de votre stratégie passera impérativement par la carte tactique mise à  disposition, permettant de gérer tous les bouzins bien plus proprement que sur le champ de bataille. C’est via cette carte que l’on pourra assigner des points de passage et des objectifs à  nos bà¢timents.

A noter que la notion de couverture radar est importante dans la mesure o๠les ennemis hors de portée resteront invisibles. La réciproque n’étant pas forcément vérifiée, elle. C’est à  ce moment que l’aviation embarquée d’un porte-avion prend tout son sens puisqu’assigner des patrouilles de reconnaissance permettra d’étendre la couverture visuelle de votre flotte.

Les dégà¢ts sont également de la partie et lors d’une escarmouche, il faut assigner les équipes sur les différentes avaries (machines, voie, d’eau, feu…) tout en essayant de manoeuvrer pour ne pas continuer à  se faire avoiner copieusement.

Multiplayer Midway

Le mode Live ne propose pas énormément de maps et modes de jeux différents. En même temps, vu le contexte historique, on ne pouvait pas s’attendre à  un Capture The Flag ou un Free For All, mais quand même.

Les missions sont au nombre de 9 et reprennent des missions clés de la bataille du pacifique. Elles proposent à  8 joueurs maxi de choisir leur camp (US ou Japon), leur bà¢timents et de s’étriller joyeusement en remplissant des objectifs.

On se retrouve ici dans la lignée d’un Battlefield 2: le gameplay peut s’avérer ultra-riche si chacun joue son rà´le. Malheureusement, les parties que j’ai essayé ne m’ont que rarement permis cela: la stratégie d’équipe est souvent remisée à  la trappe et les rà´les peu ou pas respectés (un porte-avion qui part en première ligne, à§a peut surprendre).

Et sinon, c’est joli ou bien?

Point de vue technique, la console s’en tire honorablement. Bon, en même temps, il n’est pas trop difficile d’afficher une étendue bleu-vert avec des trucs gris dessus, mais quand même. Le framerate est fluide en toutes occasion, les unités bien modélisés et les décors chatoyants, à  condition d’aimer l’océan quoi.

Ceci dit, les passages en avion permettent de voir que les devs ont fait un boulot plus qu’honorable: la distance d’affichage est grande, le clipping réduit et les effets de lumière et de fumée sont au rendez-vous.

Alors, que penser?

Ce Battlestations Midway est comme beaucoup de jeux consoles pris entre deux feux: le cà´té stratégie est assez poussé mais le gameplay permet à  des gens voulant jouer rapidement de se jeter dans la bataille. En gros, à§a n’est ni un Silent Hunter, ni un Blazing Angels, et c’est ce qui est dommage.

Jouer sur console ne signifiant pas tout le temps “vite, je veux ma dose”, on apprécierait de voir débouler des jeux ouvertement tournés vers la simulation, avec des manuels de 200 pages et des combinaisons de boutons tordues. Ou un clavier.

Messieurs les devs, entendez mon appel.

Le coin du techos

Graphismes: C’est propre, c’est net, c’est coloré, à§a chatouille les yeux mais à§a n’est pas non plus les palmiers les mieux modélisés que j’ai croisé dans ma carrière.

Animations: Pas de saccade, tout est fluide et bouge proprement. En même temps un naivre de guerre ne se déplacant que rarement à  Mach 2, l’inverse eut été dommage.

Jouabilité: les didacticiels sont bien (trop bien?) présents et permettent au joueur de se faire la main rapidement, la carte tactique est un exemple de clarté et d’ergonomie.

Sons: Seconde guerre mondiale oblige, bruit d’armes, de bà¢timents, de bombes, d’équipiers et musique un brin pompier, tout est là .

Durée de vie: pour les chiens de guerre, la campagne US et ses 11 missions risque de ne pas faire long feu, les défis solos, navire, sous-marin et avion permettant de prolonger un peu la durée de vie (respectivement 4, 3 et 3 missions). Le mode Live permet de grandes choses à  condition de parler l’anglais (presque uniquement des joueurs US ou Anglais en ligne) et de trouver les bons coéquipiers.

Note: 7/10. Il manque un je ne sais quoi qui permettrait à  ce jeu d’être un hit, nous attendrons le second épisode pour voir si l’essai est transformé.

”Images via IGN

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *