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[Mobile] Happy Street : en attendant Animal Crossing

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Dans la rue colorée d’Happy Street vivent des animaux qui se déguisent et consomment toute la journée. Si ce free-to-play dangereusement addictif a bien lorgné du…

Dans la rue colorée d’Happy Street vivent des animaux qui se déguisent et consomment toute la journée. Si ce free-to-play dangereusement addictif a bien lorgné du côté du hit de Nintendo, son ambiance rigolote et son système de quête vraiment avantageux lui octroient une durée de vie rare.

happy street 01

Testé sur Samsung Galaxy SIII

La petite rue de Pépin et ses copains doit se développer pour accueillir de nouveaux animaux. Il faut construire de nouvelles habitations, des commerces et quelques éléments de décoration qui apportent des bonus. De nouveaux habitants bizarres mais mignons viennent bientôt habiter votre rue : Zoé passionnée par les fientes d’oiseau, des canards bleus déguisés en chevalier, on a même vu une cochonne avec la coiffure de la princesse Leia.

Les créateur d’Happy Street y ont ajouté pas mal de références Geek. A travers certaines coupes de cheveux, mais aussi deux magasins de masques qui griment vos habitants en personnages connus ou encore la présence d’une console portable bien connue dans le magasin de jouets.

En marge de la rue principale, des zones supplémentaires permettent d’obtenir des ressources, nécessaire pour la construction mais aussi pour la fabrication d’objets. En forêt, on trouve du bois, des fleurs, de l’eau ; En montagne de la pierre et de la laine de mouton…

Outre la construction de nouveaux bâtiments, vous devez confectionner les objets demandés par les quêtes. Il n’y a pas de piège ou de difficulté, puisqu’il vous suffit de lancer la fabrication des articles demandés. Les récompensent pleuvent : un flouz (la monnaie du jeu) par quête accomplie, de nouvelles séries de bâtiments (indiens, chevaliers, vikings…) lorsque vous gagnez un niveau ; il n’y a pas de perdant ou de joueur mauvais à Happy Street.

Si le jeu prend un peu de temps à démarrer, la grande facilité avec laquelle on obtient les flouz et surtout son rythme vous permettent rapidement d’atteindre une vitesse de croisière. Et alors que les premiers jours de jeux voient les flouz utilisés principalement pour accélérer des actions, vous allez petit à petit changer de stratégie pour les mettre de côté, afin de débloquer des séries bonus (les cow-boys, le cirque).

Enfin, son mode en ligne simplissime fait lui aussi pleuvoir des récompenses. Classique mais efficace, il vous encourage à visiter les rue de vos amis et à les aider pour remporter des flouz supplémentaires, et à échanger (mais pas trop) des objets avec eux. Vous pouvez aussi envoyer un de vos habitants dépenser de l’argent dans le rue d’un autre pour l’aider dans sa progression.

Depuis sa sortie sur Android à l’automne 2012 Happy Street séduit de plus en plus d’utilisateurs. Les possesseurs d’iPhone savent déjà, eux, à quel point il est dangereux de se connecter pour la première fois à cette simulation. Extrêmement répétitive et facile, elle compte sur son extrême générosité pour fidéliser ses joueurs.

Dans la rue colorée d’Happy Street vivent des animaux qui se déguisent et consomment toute la journée. Si ce free-to-play dangereusement addictif a bien lorgné du côté du hit de Nintendo, son ambiance rigolote et son système de quête vraiment avantageux lui octroient une durée de vie rare.

happy street 01

Testé sur Samsung Galaxy SIII

La petite rue de Pépin et ses copains doit se développer pour accueillir de nouveaux animaux. Il faut construire de nouvelles habitations, des commerces et quelques éléments de décoration qui apportent des bonus. De nouveaux habitants bizarres mais mignons viennent bientôt habiter votre rue : Zoé passionnée par les fientes d’oiseau, des canards bleus déguisés en chevalier, on a même vu une cochonne avec la coiffure de la princesse Leia.

Les créateur d’Happy Street y ont ajouté pas mal de références Geek. A travers certaines coupes de cheveux, mais aussi deux magasins de masques qui griment vos habitants en personnages connus ou encore la présence d’une console portable bien connue dans le magasin de jouets.

En marge de la rue principale, des zones supplémentaires permettent d’obtenir des ressources, nécessaire pour la construction mais aussi pour la fabrication d’objets. En forêt, on trouve du bois, des fleurs, de l’eau ; En montagne de la pierre et de la laine de mouton…

Outre la construction de nouveaux bâtiments, vous devez confectionner les objets demandés par les quêtes. Il n’y a pas de piège ou de difficulté, puisqu’il vous suffit de lancer la fabrication des articles demandés. Les récompensent pleuvent : un flouz (la monnaie du jeu) par quête accomplie, de nouvelles séries de bâtiments (indiens, chevaliers, vikings…) lorsque vous gagnez un niveau ; il n’y a pas de perdant ou de joueur mauvais à Happy Street.

Si le jeu prend un peu de temps à démarrer, la grande facilité avec laquelle on obtient les flouz et surtout son rythme vous permettent rapidement d’atteindre une vitesse de croisière. Et alors que les premiers jours de jeux voient les flouz utilisés principalement pour accélérer des actions, vous allez petit à petit changer de stratégie pour les mettre de côté, afin de débloquer des séries bonus (les cow-boys, le cirque).

Enfin, son mode en ligne simplissime fait lui aussi pleuvoir des récompenses. Classique mais efficace, il vous encourage à visiter les rue de vos amis et à les aider pour remporter des flouz supplémentaires, et à échanger (mais pas trop) des objets avec eux. Vous pouvez aussi envoyer un de vos habitants dépenser de l’argent dans le rue d’un autre pour l’aider dans sa progression.

Depuis sa sortie sur Android à l’automne 2012 Happy Street séduit de plus en plus d’utilisateurs. Les possesseurs d’iPhone savent déjà, eux, à quel point il est dangereux de se connecter pour la première fois à cette simulation. Extrêmement répétitive et facile, elle compte sur son extrême générosité pour fidéliser ses joueurs.

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