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[En direct de l’E3] Mini-impressions : Battlecry (Le Team Fortress de l’arme blanche)

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Pendant toute la durée du salon, notre envoyé spécial Kocobe vous livrera ses premières impressions sur les jeux du salon (vous pouvez également le suivre via…

Pendant toute la durée du salon, notre envoyé spécial Kocobe vous livrera ses premières impressions sur les jeux du salon (vous pouvez également le suivre via notre compte Twitter @JduGamer). Ici, celles sur Battlecry.

Team Fortress sans un seul coup de feu, vous l’imagineriez comment ? Très certainement comme Battlecry.

Bethesda a révélé il y a peu de temps sa nouvelle licence free-to-play de beat’em all d’arène en multi : Battlecry. Le titre, qui arbore un joli style un peu bande dessinée, se déroule dans un monde datant du début du XXe siècle, mais où la poudre ne serait aucunement utilisée dans les combats. Ainsi, choisis ton arme camarade : une lame, des flèches ou tes poings.

Pour cela, plusieurs classes seront à notre disposition. L’« enforcer” possède de bonnes statistiques d’attaque et de défense. Le “duelist” est rapide et furtif, au détriment de son efficacité au combat. Et le “tech archer” est, hé bien, archer. Pas besoin de vous faire un dessin.

Chaque classe possède des pouvoirs spéciaux qui feront l’objet d’un cooldown après avoir été enclenchés. Ça peut être un buff temporaire ou un coup particulier. Chaque joueur verra également une barre d’adrénaline monter au fur et à mesure des coups que l’on porte. On peut choisir d’en utiliser le quart pour bénéficier d’un petit buff, ou bien d’attendre qu’elle soit pleine pour déclencher une furie dévastatrice.

Dans les faits, c’est quand même un peu le bazar. On se voit, on se fonce dessus, on se tape dessus et on fait le calcul. Qui a commencé à frapper en premier ? Ai-je l’ascendant au niveau de ma classe ? À vous de voir si ça vaut le coup de s’acharner. Les dégâts pris se résorbent avec le temps, la fuite et la dissimulation peuvent être ainsi un bon moyen de s’éviter une mort.

Le problème pour le moment, c’est le manque de stratégie dans les combats. C’est souvent celui qui tape en premier qui a raison et, dans ce jeu, la précision n’est pas de mise, ce qui ne favorise pas nécessairement un contexte compétitif. De surcroit, le jeu prévoit des parties allant jusqu’à 32 joueurs simultanément, imaginez la scène.

Cependant, Battlecry n’est pas encore fini. Deux autres classes nous ont été présentées, mais n’étaient pas jouables : le “gadgeteer” et le “brawler“. Elles pourraient apporter plus de variété au métagame que, personnellement et pour l’instant, je n’arrive pas à percevoir.

Battlecry est prévu sur PC, une bêta est prévu pour 2015.

Pendant toute la durée du salon, notre envoyé spécial Kocobe vous livrera ses premières impressions sur les jeux du salon (vous pouvez également le suivre via notre compte Twitter @JduGamer). Ici, celles sur Battlecry.

Team Fortress sans un seul coup de feu, vous l’imagineriez comment ? Très certainement comme Battlecry.

Bethesda a révélé il y a peu de temps sa nouvelle licence free-to-play de beat’em all d’arène en multi : Battlecry. Le titre, qui arbore un joli style un peu bande dessinée, se déroule dans un monde datant du début du XXe siècle, mais où la poudre ne serait aucunement utilisée dans les combats. Ainsi, choisis ton arme camarade : une lame, des flèches ou tes poings.

Pour cela, plusieurs classes seront à notre disposition. L’« enforcer” possède de bonnes statistiques d’attaque et de défense. Le “duelist” est rapide et furtif, au détriment de son efficacité au combat. Et le “tech archer” est, hé bien, archer. Pas besoin de vous faire un dessin.

Chaque classe possède des pouvoirs spéciaux qui feront l’objet d’un cooldown après avoir été enclenchés. Ça peut être un buff temporaire ou un coup particulier. Chaque joueur verra également une barre d’adrénaline monter au fur et à mesure des coups que l’on porte. On peut choisir d’en utiliser le quart pour bénéficier d’un petit buff, ou bien d’attendre qu’elle soit pleine pour déclencher une furie dévastatrice.

Dans les faits, c’est quand même un peu le bazar. On se voit, on se fonce dessus, on se tape dessus et on fait le calcul. Qui a commencé à frapper en premier ? Ai-je l’ascendant au niveau de ma classe ? À vous de voir si ça vaut le coup de s’acharner. Les dégâts pris se résorbent avec le temps, la fuite et la dissimulation peuvent être ainsi un bon moyen de s’éviter une mort.

Le problème pour le moment, c’est le manque de stratégie dans les combats. C’est souvent celui qui tape en premier qui a raison et, dans ce jeu, la précision n’est pas de mise, ce qui ne favorise pas nécessairement un contexte compétitif. De surcroit, le jeu prévoit des parties allant jusqu’à 32 joueurs simultanément, imaginez la scène.

Cependant, Battlecry n’est pas encore fini. Deux autres classes nous ont été présentées, mais n’étaient pas jouables : le “gadgeteer” et le “brawler“. Elles pourraient apporter plus de variété au métagame que, personnellement et pour l’instant, je n’arrive pas à percevoir.

Battlecry est prévu sur PC, une bêta est prévu pour 2015.

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