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Impressions : Dragon Ball Origins

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Malgré son âge avancé, la licence Dragon Ball reste inexorablement sur le devant de la scène. Alors que les éditeurs nous avaient habitués à une flopée…

Malgré son âge avancé, la licence Dragon Ball reste inexorablement sur le devant de la scène. Alors que les éditeurs nous avaient habitués à une flopée de jeux de combat reprenant l’univers de Dragon Ball Z, Atari et Game Republic se sont unis pour nous faire une agréable surprise. En effet, voilà qu’ils nous ont concoté ce Dragon Ball Origins, un petit action/RPG sur Nintendo DS retraçant le début de la célèbre série d’Akira Toriyama.

Rares furent les développeurs à nous proposer de replonger au coeur de l’enfance de Goku et de sa première quête aux boules de cristal. En version jouable lors du Micromania Games Show, de nombreux fans ou nostalgiques se sont ainsi rués sur les versions mises à disposition. A peine lancé dans l’aventure, diriger Goku encore tout petiot avec sa queue de singe et son bâton magique procure un plaisir incommensurable. Si à cela on rajoute la jolie Bulma à nos côtés et des graphismes chatoyants, nous ne sommes pas loin de la jouissance pour les connaisseurs de la série. Une seule envie nous tiraille : avancer dans l’histoire pour (re)découvrir les scènes mythiques du manga que l’on connaît par cœur. Et pour ne rien gâcher, le personnage se dirige entièrement au stylet, à la manière d’un Zelda Twilight Princess.

Dans le niveau testé, nous disposions de deux façons de combattre, à main nue ou avec le fameux bâton magique. Pour mettre des bourres-pifs classiques il suffisait en fait de tapoter sur les malheureuses cibles. En laissant le stylet appuyé sur le héros, celui ci se concentre et lance une charge vers l’ennemi indiqué par un simple glissement du stylet. A noter que ces deux modes de frappe sont transposables lors de l’utilisation du bâton. Une pression prolongée sur Goku suivit d’un glissé pour utiliser la capacité d’allongement du bout de bois. On peut ainsi atteindre des cibles à distance. Tout serait parfait si l’on ne se retrouvait pas très et trop souvent à rater ces fameux coups, la faute à de flagrants problèmes de sensibilité de l’écran tactile. Des envies de pulvérisation de DS risquent de vous passer par la tête. Notons aussi l’inutilité flagrante des 4 boutons de droite, dédiés à la caméra et que nous n’avons jamais utilisé…Pourquoi ne pas leur avoir assigné des raccourcis plus intelligents comme des coups par exemple. Mystère.

Il va donc falloir faire avec et avancer dans des niveaux très linéaires vous proposant de collaborer avec Bulma afin de résoudre des mini « énigmes » (pousser des blocs de pierre pour permettre à la jeune fille de traverser un trou, activer un pont, etc.) et avancer dans l’aventure. Une apparente simplicité des défis, associée à des ennemis peu coriaces (dont des cochons roses à outrance) que l’on espère simplement du au fait que au fait que le niveau proposé se déroulait lors du début de l’aventure.

Au final, si le titre semble bourré de gros défaut (sa maniabilité imprécise en premier lieu…), le titre toutefois bien parti pour rencontrer un évident succès. Difficile en effet de resister à la possibilité de retrouver Tortue Géniale, Bulma et toute l’enfance de Son Goku. Espérons juste que les imprécisions du titre ne soient pas rédhibitoires à long terme. En attendant décembre, pourquoi ne pas se relire les mangas en écoutant la fameux générique d’Ariane…

“Dragon Ball ! La quête finale des sept boules de cristal venues des étoiles…”

Malgré son âge avancé, la licence Dragon Ball reste inexorablement sur le devant de la scène. Alors que les éditeurs nous avaient habitués à une flopée de jeux de combat reprenant l’univers de Dragon Ball Z, Atari et Game Republic se sont unis pour nous faire une agréable surprise. En effet, voilà qu’ils nous ont concoté ce Dragon Ball Origins, un petit action/RPG sur Nintendo DS retraçant le début de la célèbre série d’Akira Toriyama.

Rares furent les développeurs à nous proposer de replonger au coeur de l’enfance de Goku et de sa première quête aux boules de cristal. En version jouable lors du Micromania Games Show, de nombreux fans ou nostalgiques se sont ainsi rués sur les versions mises à disposition. A peine lancé dans l’aventure, diriger Goku encore tout petiot avec sa queue de singe et son bâton magique procure un plaisir incommensurable. Si à cela on rajoute la jolie Bulma à nos côtés et des graphismes chatoyants, nous ne sommes pas loin de la jouissance pour les connaisseurs de la série. Une seule envie nous tiraille : avancer dans l’histoire pour (re)découvrir les scènes mythiques du manga que l’on connaît par cœur. Et pour ne rien gâcher, le personnage se dirige entièrement au stylet, à la manière d’un Zelda Twilight Princess.

Dans le niveau testé, nous disposions de deux façons de combattre, à main nue ou avec le fameux bâton magique. Pour mettre des bourres-pifs classiques il suffisait en fait de tapoter sur les malheureuses cibles. En laissant le stylet appuyé sur le héros, celui ci se concentre et lance une charge vers l’ennemi indiqué par un simple glissement du stylet. A noter que ces deux modes de frappe sont transposables lors de l’utilisation du bâton. Une pression prolongée sur Goku suivit d’un glissé pour utiliser la capacité d’allongement du bout de bois. On peut ainsi atteindre des cibles à distance. Tout serait parfait si l’on ne se retrouvait pas très et trop souvent à rater ces fameux coups, la faute à de flagrants problèmes de sensibilité de l’écran tactile. Des envies de pulvérisation de DS risquent de vous passer par la tête. Notons aussi l’inutilité flagrante des 4 boutons de droite, dédiés à la caméra et que nous n’avons jamais utilisé…Pourquoi ne pas leur avoir assigné des raccourcis plus intelligents comme des coups par exemple. Mystère.

Il va donc falloir faire avec et avancer dans des niveaux très linéaires vous proposant de collaborer avec Bulma afin de résoudre des mini « énigmes » (pousser des blocs de pierre pour permettre à la jeune fille de traverser un trou, activer un pont, etc.) et avancer dans l’aventure. Une apparente simplicité des défis, associée à des ennemis peu coriaces (dont des cochons roses à outrance) que l’on espère simplement du au fait que au fait que le niveau proposé se déroulait lors du début de l’aventure.

Au final, si le titre semble bourré de gros défaut (sa maniabilité imprécise en premier lieu…), le titre toutefois bien parti pour rencontrer un évident succès. Difficile en effet de resister à la possibilité de retrouver Tortue Géniale, Bulma et toute l’enfance de Son Goku. Espérons juste que les imprécisions du titre ne soient pas rédhibitoires à long terme. En attendant décembre, pourquoi ne pas se relire les mangas en écoutant la fameux générique d’Ariane…

“Dragon Ball ! La quête finale des sept boules de cristal venues des étoiles…”

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