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Impressions (Xbox 360) – Spec Ops : The Line

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Alors qu’une opération de routine avait lieu sur Dubaï, votre commandant a disparu dans une tempête de sable qui s’est abattue sur la ville. Vous, ainsi…

Alors qu’une opération de routine avait lieu sur Dubaï, votre commandant a disparu dans une tempête de sable qui s’est abattue sur la ville. Vous, ainsi que vos deux acolytes, êtes amenés à rechercher des survivants, et ce malgré vos faibles graduations. Mais les choses ne semblent pas être aussi carrées, comme lorsque vous faîtes votre lit de militaire, et d’étranges rixes entre le peuple et l’armée remettent votre jugement en cause. Bienvenue dans Spec Ops : The Line, dans une aventure boulversante qui mettra à l’épreuve psychologiquement vos tripes.

Sable émouvant

Si nous n’avons pas pu profiter de l’histoire dans sa totalité, il est clair que nous avons affaire à un scénario pour adultes. Bien entendu, je ne fais en aucun cas référence à la classification PEGI 18 + ! Néanmoins, il se pourrait bien qu’elle ne plaise pas à ceux et celles qui viennent fraîchement de passer le cap de la majorité. Mais vous découvrirez des magouilles plutôt louches en avançant dans le jeu qui vous feront souvent douter de votre employeur : l’armée. Ainsi, vous serez confronté à des choix cornéliens où prendre une décision deviendra une réelle épreuve pour vos nerfs. Tout cela mêlé à un environnement complètement ensablé, l’immersion est au rendez-vous, presque autant que dans un film. La relation que l’on entretient avec ses deux coéquipiers devient de plus en plus forte, pour devenir finalement cruciale. Car ils ne seront pas toujours d’accord avec vos décisions, et commenceront à perdre la boule, tout comme vous. Spec Ops : The Line s’annonce comme un gros travail de profondeur des personnages qui sont les piliers de l’histoire. Mais une fois encore, elle ne sera pas au goût de tout le monde, bien qu’elle se prête extrêmement bien au système de choix. Si la réalisation scénaristique semble prometteuse, elle ne constitue pas le seul point forts de nos impressions. Car le sable, élément dominant du paysage, a été exploité de manière à ce qu’il rende les environnements maniables. Vous vous retrouverez ainsi à briser des vitres pour faire mourir vos ennemis par étouffement. Les interactions avec ce qui vous entoure sont limitées, mais nombreuses, et elles suffisent amplement à nous amuser. D’autant plus que la prise en main instinctive permet de se prendre très vite au jeu. Difficile d’innover dans le gameplay du registre des TPS en shoot. Spec Ops : The Line reprend ainsi les mécanismes classiques qui permettent de s’y retrouver facilement. Mais on note tout de même une volonté d’innovation avec la possibilité de donner des ordres aux deux alliés qui vous suivent. Il sera ainsi possible de leur demander de tuer certaines personnes, ce qui vous aidera plus d’une fois ! Et si leur intelligence ne surpasse pas la vôtre, elle reste bien paramétrée et rend ces deux acolytes utiles.

Line et air ?

Si les graphismes ne nous ont pas paru extraordinaires (peut-être du à la version du jeu…), les lieux classiques qui remplissent une ville sont présents, mais toujours avec une patte graphique détaillée propre à chacun d’entre eux. Alors que la présence du sable reste dominante, nous avions peur d’être confrontés aux mêmes codes couleurs. Et pourtant, nous avons pu remarquer une ambiance bleutée dans un souterrain, l’emploi du monochrome sur quelques séquences durant l’utilisation d’une arme étrange, bref, les chartes graphiques sont autant élaborées que le travail d’un chef op’ et d’un directeur de la photographie sur un tournage. En revanche, la bande-son n’a pas toujours fait son effet. Elle est utilisée à merveille à travers certaines scènes (pour ne pas dire “alors qu’elle vous prend aux tripes”), alors qu’elle est inexistante dans d’autres. Un parti-pris qui se tient (le sable, le désert, donc le vide…sonore !), mais qui déçoit un tout petit peu, car les rares utilisation auxquelles nous avons pu assister se sont avérées très efficaces. Tout du moins, autant que le doublage en anglais qui, on espère, sera à disposition dans la version française (à moins de choisir d’aussi bon doubleurs…).

Spec Ops : The Line avait un gros défi à relever : se faire une place au soleil sur la plage recouverte de centaines de TPS, tous concurrents. Mais le jeu a préféré choisir une étendue de sable plus tranquille à Dubaï. Si le gameplay reste plutôt classique, Spec Ops semble avoir une histoire prenante qui s’intègre parfaitement à celui-ci avec des choix cruciaux qui le rende plus pertinent. Nous pourrons vérifier si le jeu complet se montre aussi immersif au printemps prochain, ce qui risque probablement de se confirmer. Des premières impressions qui ne laissent pas de marbre, et qui donnent envie de goûter à cette dure histoire dans sa totalité !


Alors qu’une opération de routine avait lieu sur Dubaï, votre commandant a disparu dans une tempête de sable qui s’est abattue sur la ville. Vous, ainsi que vos deux acolytes, êtes amenés à rechercher des survivants, et ce malgré vos faibles graduations. Mais les choses ne semblent pas être aussi carrées, comme lorsque vous faîtes votre lit de militaire, et d’étranges rixes entre le peuple et l’armée remettent votre jugement en cause. Bienvenue dans Spec Ops : The Line, dans une aventure boulversante qui mettra à l’épreuve psychologiquement vos tripes.

Sable émouvant

Si nous n’avons pas pu profiter de l’histoire dans sa totalité, il est clair que nous avons affaire à un scénario pour adultes. Bien entendu, je ne fais en aucun cas référence à la classification PEGI 18 + ! Néanmoins, il se pourrait bien qu’elle ne plaise pas à ceux et celles qui viennent fraîchement de passer le cap de la majorité. Mais vous découvrirez des magouilles plutôt louches en avançant dans le jeu qui vous feront souvent douter de votre employeur : l’armée. Ainsi, vous serez confronté à des choix cornéliens où prendre une décision deviendra une réelle épreuve pour vos nerfs. Tout cela mêlé à un environnement complètement ensablé, l’immersion est au rendez-vous, presque autant que dans un film. La relation que l’on entretient avec ses deux coéquipiers devient de plus en plus forte, pour devenir finalement cruciale. Car ils ne seront pas toujours d’accord avec vos décisions, et commenceront à perdre la boule, tout comme vous. Spec Ops : The Line s’annonce comme un gros travail de profondeur des personnages qui sont les piliers de l’histoire. Mais une fois encore, elle ne sera pas au goût de tout le monde, bien qu’elle se prête extrêmement bien au système de choix. Si la réalisation scénaristique semble prometteuse, elle ne constitue pas le seul point forts de nos impressions. Car le sable, élément dominant du paysage, a été exploité de manière à ce qu’il rende les environnements maniables. Vous vous retrouverez ainsi à briser des vitres pour faire mourir vos ennemis par étouffement. Les interactions avec ce qui vous entoure sont limitées, mais nombreuses, et elles suffisent amplement à nous amuser. D’autant plus que la prise en main instinctive permet de se prendre très vite au jeu. Difficile d’innover dans le gameplay du registre des TPS en shoot. Spec Ops : The Line reprend ainsi les mécanismes classiques qui permettent de s’y retrouver facilement. Mais on note tout de même une volonté d’innovation avec la possibilité de donner des ordres aux deux alliés qui vous suivent. Il sera ainsi possible de leur demander de tuer certaines personnes, ce qui vous aidera plus d’une fois ! Et si leur intelligence ne surpasse pas la vôtre, elle reste bien paramétrée et rend ces deux acolytes utiles.

Line et air ?

Si les graphismes ne nous ont pas paru extraordinaires (peut-être du à la version du jeu…), les lieux classiques qui remplissent une ville sont présents, mais toujours avec une patte graphique détaillée propre à chacun d’entre eux. Alors que la présence du sable reste dominante, nous avions peur d’être confrontés aux mêmes codes couleurs. Et pourtant, nous avons pu remarquer une ambiance bleutée dans un souterrain, l’emploi du monochrome sur quelques séquences durant l’utilisation d’une arme étrange, bref, les chartes graphiques sont autant élaborées que le travail d’un chef op’ et d’un directeur de la photographie sur un tournage. En revanche, la bande-son n’a pas toujours fait son effet. Elle est utilisée à merveille à travers certaines scènes (pour ne pas dire “alors qu’elle vous prend aux tripes”), alors qu’elle est inexistante dans d’autres. Un parti-pris qui se tient (le sable, le désert, donc le vide…sonore !), mais qui déçoit un tout petit peu, car les rares utilisation auxquelles nous avons pu assister se sont avérées très efficaces. Tout du moins, autant que le doublage en anglais qui, on espère, sera à disposition dans la version française (à moins de choisir d’aussi bon doubleurs…).

Spec Ops : The Line avait un gros défi à relever : se faire une place au soleil sur la plage recouverte de centaines de TPS, tous concurrents. Mais le jeu a préféré choisir une étendue de sable plus tranquille à Dubaï. Si le gameplay reste plutôt classique, Spec Ops semble avoir une histoire prenante qui s’intègre parfaitement à celui-ci avec des choix cruciaux qui le rende plus pertinent. Nous pourrons vérifier si le jeu complet se montre aussi immersif au printemps prochain, ce qui risque probablement de se confirmer. Des premières impressions qui ne laissent pas de marbre, et qui donnent envie de goûter à cette dure histoire dans sa totalité !


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