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Test : Fight Night : Round 4

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Tous ceux qui on un jour touché à Fight Night : Round 3 pourront vous le dire : qu’on soit sensible ou pas au noble art,…

Tous ceux qui on un jour touché à Fight Night : Round 3 pourront vous le dire : qu’on soit sensible ou pas au noble art, impossible de ne pas adhérer au soft d’EA Sports, tant chaque aspect du jeu semblait optimisé à l’extrême. Alors forcément, vous vous doutez bien qu’on en attendait énormément de ce nouveau volet.

test_fight_night_round_4_5

Incontestablement, ce qui fait le charme d’un Fight Night, c’est son gameplay si particulier, basé en grande partie sur les sticks analogiques. Comprenez : chaque stick contrôle indépendamment un bras de votre boxeur. Et forcément, suivant la façon où vous bougez le stick, un coup différent sortira. Complexe au départ, mais rudement efficace, au point que n’importe quel jeu de boxe affichant un gameplay “classique” utilisant les boutons pourra sembler has-been. At last, but nos least, les développeurs d’EA Canada ont su apporter leur touche (pourtant, c’est cette même équipe qui se planque derrière l’infâme Facebreaker…) en conférant aux combats un rythme cette fois beaucoup plus soutenu. Et c’est rien de le dire, puisque qu’enchaîner les rounds demande maintenant bien plus de concentration. Parallèlement, les boxeurs sont maintenant en mesure de balancer des frappes plus rapidement, et sans trop s’essoufler… Quoi qu’il en soit, bloquer, éviter les coups et en placer au bon moment se révèlera vite être un challenge de taille… Mais quand c’est si bon…

Emballé, moi ? Un peu… Parce que sans s’étaler des heures sur les nouveautés apportées par cet opus, on ne pourra que saluer l’arrivée de 48 boxeurs de légende, d’un éditeur de perso hypra complet ou bien encore d’un mode Carrière gargantuesque (semblable à celui du Round 3, c’est un fait), vous proposant de gravir petit à petit les marches vous menant vers la gloire. En passant bien évidemment par les matchs dans les gymnases crasseux, et par des entraînements où l’optimisation du temps est primordiale. En plus de ça, l’aspect graphique du jeu est encore une fois très impressionnant. Il faut vraiment voir les corps ruisseler de sueur, les bouches se briser sous le coup d’une droite bien sentie pour évaluer le boulot réalisé. C’est fluide, c’est carré, c’est imparable. Dommage par contre que les développeurs n’aient pas passé plus de temps à peaufiner le public… (il faut bien chipoter un peu)

Sans révolutionner la série, ce Round 4 arrive une fois encore à nous scotcher sans mal au pad. Facile quand on se permet d’afficher des graphismes hypra léchés et un gameplay précis, maîtrisé et, il faut bien le dire, loin d’avoir été égalé… Toujours est-il que ceux qui appréciaient le rythme un peu figé des combats du 3ème volet pourront être déboussolés au départ. Avant de se demander comment ils ont pu se coltiner autant de combats aussi peu animés…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • Graphiquement au top
  • Animations bluffantes
  • 48 boxeurs !
  • Un mode Carrière en béton armé
  • Les –

  • Le public peu soigné
  • Assez bourrin quand même…
  • Tous ceux qui on un jour touché à Fight Night : Round 3 pourront vous le dire : qu’on soit sensible ou pas au noble art, impossible de ne pas adhérer au soft d’EA Sports, tant chaque aspect du jeu semblait optimisé à l’extrême. Alors forcément, vous vous doutez bien qu’on en attendait énormément de ce nouveau volet.

    test_fight_night_round_4_5

    Incontestablement, ce qui fait le charme d’un Fight Night, c’est son gameplay si particulier, basé en grande partie sur les sticks analogiques. Comprenez : chaque stick contrôle indépendamment un bras de votre boxeur. Et forcément, suivant la façon où vous bougez le stick, un coup différent sortira. Complexe au départ, mais rudement efficace, au point que n’importe quel jeu de boxe affichant un gameplay “classique” utilisant les boutons pourra sembler has-been. At last, but nos least, les développeurs d’EA Canada ont su apporter leur touche (pourtant, c’est cette même équipe qui se planque derrière l’infâme Facebreaker…) en conférant aux combats un rythme cette fois beaucoup plus soutenu. Et c’est rien de le dire, puisque qu’enchaîner les rounds demande maintenant bien plus de concentration. Parallèlement, les boxeurs sont maintenant en mesure de balancer des frappes plus rapidement, et sans trop s’essoufler… Quoi qu’il en soit, bloquer, éviter les coups et en placer au bon moment se révèlera vite être un challenge de taille… Mais quand c’est si bon…

    Emballé, moi ? Un peu… Parce que sans s’étaler des heures sur les nouveautés apportées par cet opus, on ne pourra que saluer l’arrivée de 48 boxeurs de légende, d’un éditeur de perso hypra complet ou bien encore d’un mode Carrière gargantuesque (semblable à celui du Round 3, c’est un fait), vous proposant de gravir petit à petit les marches vous menant vers la gloire. En passant bien évidemment par les matchs dans les gymnases crasseux, et par des entraînements où l’optimisation du temps est primordiale. En plus de ça, l’aspect graphique du jeu est encore une fois très impressionnant. Il faut vraiment voir les corps ruisseler de sueur, les bouches se briser sous le coup d’une droite bien sentie pour évaluer le boulot réalisé. C’est fluide, c’est carré, c’est imparable. Dommage par contre que les développeurs n’aient pas passé plus de temps à peaufiner le public… (il faut bien chipoter un peu)

    Sans révolutionner la série, ce Round 4 arrive une fois encore à nous scotcher sans mal au pad. Facile quand on se permet d’afficher des graphismes hypra léchés et un gameplay précis, maîtrisé et, il faut bien le dire, loin d’avoir été égalé… Toujours est-il que ceux qui appréciaient le rythme un peu figé des combats du 3ème volet pourront être déboussolés au départ. Avant de se demander comment ils ont pu se coltiner autant de combats aussi peu animés…

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • Graphiquement au top
  • Animations bluffantes
  • 48 boxeurs !
  • Un mode Carrière en béton armé
  • Les –

  • Le public peu soigné
  • Assez bourrin quand même…
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